L’émotion était forte dans le stade Sam Boyd après la victoire de Dylan Ferrandis. Les larmes ont coulé, il y a eu des embrassades, des bisous, des câlins, des félicitations, des « je t’aime », « t’es le meilleur », etc. Deux jours plus tard, dans le canapé d’un bar de l’hôtel Planet Hollywood de Las Vegas, David Vuillemin ne peut pas retenir ses larmes de bonheur. Un moment fort qui dure 1 h 50 et qui monte en puissance jusqu’à la fin. On se souviendra longtemps du samedi 4 mai 2019 mais aussi de ce podcast n°79.