L'histoire de la littérature de jeunesse, au-delà de la dichotomie texte-image, peut être explorée sous l'angle de la matière. Par matière, on entend aussi bien le choix du grammage, les mécanismes, les volvelles et les rabats que les feuilles de rhodoïdes ou les pliages. Quelle place faut-il donc accorder à la matérialité? Que faire de cette littérature qui demande à ses lecteurs de faire et défaire plutôt que de lire ? Cette présentation sera composée d'un volet historique avant de se focaliser sur des études de cas plus contemporains.