Cette semaine, une édition exceptionnelle de "La Planète Bleue": un nouveau tour du monde du funk. Les précédentes éditions de "La Planète Bleue" consacrées au funk ont fait un tabac, vous avez été nombreux à réagir, très enthousiastes. Voici donc la toute nouvelle édition du tour du monde du funk. Car si le funk est bel et bien né aux Etats-Unis au début du XXe siècle, il s'est rapidement propagé aux coins du globe, notamment en Scandinavie, qui en est particulièrement fan. Nous allons partir pour Copenhague, Stockholm et Oslo.

Nous sommes bombardés d'informations. Cette semaine, nous allons nous poser la question de la qualité de ces infos. Par exemple, à propos de la prise de Mossoul en Irak: alors que la plupart des médias répètent en boucle la même info, il est intéressant de voir ce qu'en disent les chercheurs. Qu'apporte leur regard, leurs analyses?

Depuis que les radiotélescopes du monde entier scrutent l'activité radio de la galaxie, nous avons écouté plus d'un milliard de fréquences. Pour quel résultat? Rien! Les espaces infinis restent muets, pas le moindre bégaiement d'ET. Pourtant, l'approche des chercheurs est en train de considérablement évoluer depuis qu'on découvre des exoplanètes à tour de bras.

"La Planète Bleue" vous entraîne dans la presqu'île du Yucatan, au sud-est du Mexique, véritable pépinière de temples et de pyramides mayas. À Palenque, dans l'une de ces fameuses pyramides à degrés maintes fois étudiée depuis des décennies, une équipe d'archéologues vient pourtant de découvrir un mystérieux réseau de canaux souterrains, qui devait permettre à l'esprit du souverain d'accéder à l'inframonde.

"La Planète Bleue" s'intéresse aux tueurs de baleines japonais, qui viennent d'être condamnés par la Cour internationale de justice. Une victoire, enfin, pour l'activiste écologiste Paul Watson, qui se bat contre les truands nippons depuis tant d'années.

Au centre de l'Inde, nous allons voir cette semaine que la terrible guerre silencieuse qui oppose les paramilitaires et les industriels aux tribus locales a valeur de symbole sur l'avenir de notre monde, comme une lecture du libéralisme mondialisé et ce n'est pas vraiment réjouissant.

Cette semaine, c'est la dernière édition de "La Planète Bleue" sur Couleur 3. Après plus de 22 ans de bons et loyaux services, "La Planète Bleue" tire sa révérence, et va aller orbiter autour d'autres astres.

Cette semaine, nous allons découvrir les néo-survivalistes. Les survivalistes sont ces gens un peu barrés, persuadés que demain sera mauvais, que le futur apportera l'apocalypse, à peu près l'antithèse de la new age. Ils stockent des armes et font des réserves de bouffe. Les néo-survivalistes sont ultra-riches, ils viennent de la finance ou des nouvelles technologies, ils stockent des armes et de la bouffe, eux aussi, mais s'achètent en outre des bunkers de luxe à l'épreuve du changement climatique.

Au centre de l'Inde, nous allons voir cette semaine que la terrible guerre silencieuse qui oppose les paramilitaires et les industriels aux tribus locales a valeur de symbole sur l'avenir de notre monde, comme une lecture du libéralisme mondialisé et ce n'est pas vraiment réjouissant.

Cette semaine, La Planète Bleue va vous révéler l'invention révolutionnaire d'une start-up en train de mettre au point une hydrolienne qui bouge comme une anguille, qui ondule sans pâle, sans hélice, sans rotor, mais avec un rendement exceptionnel, même en courants faibles. Un système qui pourrait permettre de produire de l'électricité vraiment propre, en mer et en rivière…