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Le Château d'Oiron 2/2
📜 Les Bâtisseurs de l’Histoire – Nouvelle Épopée au Château d'Oiron 🎭
Une galerie comme un manifeste.
Un escalier qui s’élève entre deux mondes.
Une joute qui dérape, un duel qui éclate.
Et l’Art, partout, comme langage du pouvoir.
Dans ce second épisode consacré au château d’Oiron, la journée se poursuit sous le soleil du mois de juin 1550.
Les façades gothiques croisent déjà les audaces de la Renaissance, et chaque pierre semble porter la mémoire des ambitions qu’elle a abritées.
Claude Gouffier, Grand Écuyer de France, orchestre cette journée comme une mise en scène du rang et de la culture.
Entre la galerie basse, hommage gothique à la rigueur paternelle, et l’escalier de lumière, manifeste d’une Renaissance à la française, le parcours conduit peu à peu vers la révélation attendue : une galerie peinte, inspirée de l’Italie humaniste, où l’histoire antique devient miroir du présent.
Mais sous l’harmonie savante des parterres et des fresques, la tension monte.
La joute chevaleresque tourne à l’affront.
La parade cède la place au sang.
Dans l’ombre des jardins, les armes se croisent à nouveau — hors de tout cadre, hors de toute règle.
Et tandis que la musique s’élève, que les fêtes reprennent, la peinture, elle, demeure.
Elle raconte sans hausser la voix.
Elle inscrit dans la pierre l’écho des grandeurs, des violences, des espérances d’un monde qui croit encore au pouvoir des arts.
🎙 Suivez-moi dans cette journée où l’Histoire se vit autant qu’elle se contemple.
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By Florent Turpeau📜 Les Bâtisseurs de l’Histoire – Nouvelle Épopée au Château d'Oiron 🎭
Une galerie comme un manifeste.
Un escalier qui s’élève entre deux mondes.
Une joute qui dérape, un duel qui éclate.
Et l’Art, partout, comme langage du pouvoir.
Dans ce second épisode consacré au château d’Oiron, la journée se poursuit sous le soleil du mois de juin 1550.
Les façades gothiques croisent déjà les audaces de la Renaissance, et chaque pierre semble porter la mémoire des ambitions qu’elle a abritées.
Claude Gouffier, Grand Écuyer de France, orchestre cette journée comme une mise en scène du rang et de la culture.
Entre la galerie basse, hommage gothique à la rigueur paternelle, et l’escalier de lumière, manifeste d’une Renaissance à la française, le parcours conduit peu à peu vers la révélation attendue : une galerie peinte, inspirée de l’Italie humaniste, où l’histoire antique devient miroir du présent.
Mais sous l’harmonie savante des parterres et des fresques, la tension monte.
La joute chevaleresque tourne à l’affront.
La parade cède la place au sang.
Dans l’ombre des jardins, les armes se croisent à nouveau — hors de tout cadre, hors de toute règle.
Et tandis que la musique s’élève, que les fêtes reprennent, la peinture, elle, demeure.
Elle raconte sans hausser la voix.
Elle inscrit dans la pierre l’écho des grandeurs, des violences, des espérances d’un monde qui croit encore au pouvoir des arts.
🎙 Suivez-moi dans cette journée où l’Histoire se vit autant qu’elle se contemple.