
Sign up to save your podcasts
Or
Aujourd'hui, je vais vous raconter une histoire aussi étonnante qu’inhabituelle. Celle d’un homme qui a consacré une grande partie de sa vie à une passion que peu de gens auraient pu imaginer : collectionner des cônes de signalisation. Un homme ordinaire, un Britannique du nom de David Morgan, qui est désormais détenteur d’un record mondial pour la plus grande collection de cônes de signalisation au monde. Oui, vous avez bien entendu : des cônes ! Ces objets que l'on croise tous les jours sur les routes, sans jamais vraiment y prêter attention, sont devenus pour lui une véritable obsession.
Tout commence dans les années soixante-dix, lorsque David, alors âgé d’une vingtaine d’années, aperçoit un cône de signalisation renversé sur le bord de la route près de chez lui, à Oxford. À l’époque, les cônes de signalisation ne sont pas encore aussi courants qu’ils le sont aujourd'hui, et cet objet orange vif, planté là au milieu du paysage grisâtre, intrigue David. Il décide de le ramasser, de le ramener chez lui et, pour une raison qu’il peine lui-même à expliquer, il commence à le garder comme un souvenir étrange.
Aujourd'hui, je vais vous raconter une histoire aussi étonnante qu’inhabituelle. Celle d’un homme qui a consacré une grande partie de sa vie à une passion que peu de gens auraient pu imaginer : collectionner des cônes de signalisation. Un homme ordinaire, un Britannique du nom de David Morgan, qui est désormais détenteur d’un record mondial pour la plus grande collection de cônes de signalisation au monde. Oui, vous avez bien entendu : des cônes ! Ces objets que l'on croise tous les jours sur les routes, sans jamais vraiment y prêter attention, sont devenus pour lui une véritable obsession.
Tout commence dans les années soixante-dix, lorsque David, alors âgé d’une vingtaine d’années, aperçoit un cône de signalisation renversé sur le bord de la route près de chez lui, à Oxford. À l’époque, les cônes de signalisation ne sont pas encore aussi courants qu’ils le sont aujourd'hui, et cet objet orange vif, planté là au milieu du paysage grisâtre, intrigue David. Il décide de le ramasser, de le ramener chez lui et, pour une raison qu’il peine lui-même à expliquer, il commence à le garder comme un souvenir étrange.