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Pour en savoir plus : https://www.celinealvarez.org
The Marschmallow Test est une étude conduite dans les années 60 par le psychologue Walter Mischel de l'université Stanford. Voici une réplique filmée de ce test. Cette étude longitudinale visait à mesurer le lien entre le développement du contrôle inhibiteur précoce et la réussite à l’âge adulte. Pour mesurer cela, Walter Mischel testa 500 enfants de 4 ans qu’il suivit pendant près de 30 ans. Le test consistait à placer un Chamallow devant chaque enfant, puis à le laisser seul, assis devant le Chamallow, une quinzaine minutes. Le psychologue expliquait à l’enfant: “Si tu ne manges pas le Chamallow pendant mon absence, tu en auras un de plus à mon retour.”
Les enfants qui avaient su, à 4 ans, résister et attendre, avaient plus d’amis à l'adolescence, étaient plus appréciés de leurs enseignants, géraient mieux leur stress, avaient une meilleure estime d’eux-mêmes, s’exprimaient mieux, entraient dans de meilleures universités et, à l’âge adulte, ils avaient des emplois plus satisfaisants - même avec un QI plus bas. Enfin, ils avaient nettement moins de problèmes d’alcool ou de drogue à l’âge de 32 ans, et étaient en meilleure santé, que ceux qui - à 4 ans - n’avaient pas su résister à la tentation du Chamallow. Le contrôle inhibiteur serait ainsi plus prédictif de la réussite scolaire, professionnel et sociale que le QI.
Voir l’étude Delay of gratification in children http://1.usa.gov/1B08xbP
Pour en savoir plus : https://www.celinealvarez.org
The Marschmallow Test est une étude conduite dans les années 60 par le psychologue Walter Mischel de l'université Stanford. Voici une réplique filmée de ce test. Cette étude longitudinale visait à mesurer le lien entre le développement du contrôle inhibiteur précoce et la réussite à l’âge adulte. Pour mesurer cela, Walter Mischel testa 500 enfants de 4 ans qu’il suivit pendant près de 30 ans. Le test consistait à placer un Chamallow devant chaque enfant, puis à le laisser seul, assis devant le Chamallow, une quinzaine minutes. Le psychologue expliquait à l’enfant: “Si tu ne manges pas le Chamallow pendant mon absence, tu en auras un de plus à mon retour.”
Les enfants qui avaient su, à 4 ans, résister et attendre, avaient plus d’amis à l'adolescence, étaient plus appréciés de leurs enseignants, géraient mieux leur stress, avaient une meilleure estime d’eux-mêmes, s’exprimaient mieux, entraient dans de meilleures universités et, à l’âge adulte, ils avaient des emplois plus satisfaisants - même avec un QI plus bas. Enfin, ils avaient nettement moins de problèmes d’alcool ou de drogue à l’âge de 32 ans, et étaient en meilleure santé, que ceux qui - à 4 ans - n’avaient pas su résister à la tentation du Chamallow. Le contrôle inhibiteur serait ainsi plus prédictif de la réussite scolaire, professionnel et sociale que le QI.
Voir l’étude Delay of gratification in children http://1.usa.gov/1B08xbP