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Or


L'hiver n'est pas terminé mais nous attendons la venue du printemps avec impatience désormais. Il y a quelques jours en arrière, l'apparition des premières violettes odorantes dans l'herbe m'a rappelé cette nouvelle de Colette, "Le dernier feu", extraite de son recueil Les Vrilles de la vigne paru en 1908. Son désir de voir arriver le printemps est tel qu'il la ramène à ses souvenirs d'enfance, à des souvenirs d'autres printemps déjà vécus, souvenirs qui l'aident à patienter. "Mon souhait vorace crée ce qui lui manque et s'en repaît", écrit-elle. Elle se souvient notamment des violettes de son enfance.
Goûtons ensemble la merveilleuse connivence de Colette avec les éléments, la finesse de ses observations, sa sensualité, la virtuosité de sa plume.
Pour nous suivre :
- le blog Isaghis, consacré aux mots et aux images ;
- les comptes Instagram @les_mots_les_remedes et @isaghisblog.
By Isabelle BrunL'hiver n'est pas terminé mais nous attendons la venue du printemps avec impatience désormais. Il y a quelques jours en arrière, l'apparition des premières violettes odorantes dans l'herbe m'a rappelé cette nouvelle de Colette, "Le dernier feu", extraite de son recueil Les Vrilles de la vigne paru en 1908. Son désir de voir arriver le printemps est tel qu'il la ramène à ses souvenirs d'enfance, à des souvenirs d'autres printemps déjà vécus, souvenirs qui l'aident à patienter. "Mon souhait vorace crée ce qui lui manque et s'en repaît", écrit-elle. Elle se souvient notamment des violettes de son enfance.
Goûtons ensemble la merveilleuse connivence de Colette avec les éléments, la finesse de ses observations, sa sensualité, la virtuosité de sa plume.
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