
Sign up to save your podcasts
Or


"Dès que je mets un pied à bord, je voltige ! La vie est là", disait Anita Conti en 1953 dans Racleurs d’Océans.
Première océanographe, seule femme à bord, elle faisait alors figure de pionnière dans un univers encore très peu féminisé.
Qu’en est-il aujourd’hui ? Quelle est la place des femmes à bord ?
« La vie à bord », c’est ce qui a attiré Claire Cérède. Vivre en mer - et pas que pour les vacances- c’est ce qui l’a conduit à intégrer l’école nationale de la marine marchande pour devenir mécanicienne.
Après des années de navigation et un rythme de vie « à contre-courant », Claire a retrouvé l’hydro, l’école des officiers mécano, en tant qu’enseignante cette fois. Si elle est la preuve vivante que les femmes ont toute leur place à bord, ses élèves restent dans l’immense majorité des garçons. Faute de modèles, aujourd’hui encore les filles ne s’imaginent pas que de telles carrières leur ouvrent les bras."
"Cristina est madrilène. Elle est née dans la Ville espagnole la plus éloignée des côtes. Difficile à croire quand on la croise, vêtue d’une marinière, et qu’on l’écoute nous décrire son rapport presque vital à l’océan. Au-delà de ses navigations et des voyages qui ont rythmés sa vie, Christina a dédié sa carrière de juriste à la protection de l’environnement, notamment l’environnement marin.
Aujourd’hui Présidente de l’association Women For Sea, Christina milite pour une plus grande considération du rôle joué par les femmes dans la protection des mers. A la veille de l’UNOC - un important sommet sur l’avenir des océans - elle interpelle les décideurs, les chercheurs et la société civile réunies au chevet des mers, combien de femme autour de la table des négociations ?"
Ecoutez et suivez l'association Women for Sea : https://womenforsea.fr/lodyssee-des-possibles-2025/
Habillage sonore : @ Malo Louvigné
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
By Anna Corlay"Dès que je mets un pied à bord, je voltige ! La vie est là", disait Anita Conti en 1953 dans Racleurs d’Océans.
Première océanographe, seule femme à bord, elle faisait alors figure de pionnière dans un univers encore très peu féminisé.
Qu’en est-il aujourd’hui ? Quelle est la place des femmes à bord ?
« La vie à bord », c’est ce qui a attiré Claire Cérède. Vivre en mer - et pas que pour les vacances- c’est ce qui l’a conduit à intégrer l’école nationale de la marine marchande pour devenir mécanicienne.
Après des années de navigation et un rythme de vie « à contre-courant », Claire a retrouvé l’hydro, l’école des officiers mécano, en tant qu’enseignante cette fois. Si elle est la preuve vivante que les femmes ont toute leur place à bord, ses élèves restent dans l’immense majorité des garçons. Faute de modèles, aujourd’hui encore les filles ne s’imaginent pas que de telles carrières leur ouvrent les bras."
"Cristina est madrilène. Elle est née dans la Ville espagnole la plus éloignée des côtes. Difficile à croire quand on la croise, vêtue d’une marinière, et qu’on l’écoute nous décrire son rapport presque vital à l’océan. Au-delà de ses navigations et des voyages qui ont rythmés sa vie, Christina a dédié sa carrière de juriste à la protection de l’environnement, notamment l’environnement marin.
Aujourd’hui Présidente de l’association Women For Sea, Christina milite pour une plus grande considération du rôle joué par les femmes dans la protection des mers. A la veille de l’UNOC - un important sommet sur l’avenir des océans - elle interpelle les décideurs, les chercheurs et la société civile réunies au chevet des mers, combien de femme autour de la table des négociations ?"
Ecoutez et suivez l'association Women for Sea : https://womenforsea.fr/lodyssee-des-possibles-2025/
Habillage sonore : @ Malo Louvigné
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.