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Or
Jeanluc Épallle et Jacques Prudhomme
Jeanluc Épallle livre ici un florilège de ses textes de scène et chroniques qui ont trait avec l'industrie minière, si chère à la culture stéphanoise et à sa propre histoire familiale.
chronique de Jacques Plaine
JEANLUC EPALLLE & JACQUES PRUD’HOMME Les mots dits en sol mineurs Actes graphiques Jeanluc Epallle, comédien, chanteur, chroniqueur radio et auteur de la plupart de ses spectacles. Jacques Prud’Homme, graphiste de formation et photographe par passion, adepte du sténopé depuis 2004. Cette chronique est-elle la 1499ème la 1500ème ou la 1501ème ? Elle est avant tout celle dédiée à l’ami Jeanluc. Pour lui je ne compte pas sur mes doigts, cette chronique sera la 1500ème point barre. La 1500ème en souvenir de quinze années de Fêtes du livre au cours desquelles nous avons eu si souvent l’occasion de travailler avec pour oriflamme et leitmotiv la devise « bienheureux les fêlés ils laissent passer la lumière ». En ce temps-là Jeanluc ne savait pas que le sculpteur Albert Chanut - alors Grand Maître des cafés littéraires de la Fête - était de sa famille et les hasards de la vie ne nous avaient pas encore fait petits cousins « par ricochet ». Dans ce livre Il met en musique ses souvenirs d’hier et d’avant-hier en hommage à ses grands-pères, tous deux mineurs de fond et dont l’un d’eux est remonté au jour en deux morceaux. Des textes illustrés d’étonnants sténopés de Jacques Prud’homme. Un sténopé n’étant pas une malformation du pylore mais une photo réalisée avec une simple boite – qui peut être de conserve - sans objectif, ni viseur mais équipée d’une plaque sensible. Un magnifique ouvrage dans lequel il nous donne à lire quelques-uns des textes qui font sa gloire et celle de « L’Autre Lieu » son théâtre de la Ricamarie. Des textes écrits dans la langue de par ici, le gaga. Oui le gaga mais pas celui que parlaient jadis les pagnots de Chavanelle, les lavandières de la rue des Gauds ou les clapeuses de Couriot. Non, le gaga d’aujourd’hui avec des mots d’autrefois certes, mais des mots proposés avec parcimonie et non pas accumoncelés et jetés à la gratapille dans une diarrhée vernaculaire de pacotille. Des bijoux de mots présentés en majesté dans des textes qui pourraient être de Molière, Audiard ou San Antonio. Des mots qui illuminent les pages de Jeanluc comme les épices et condiments sélectionnés par nos Trois Étoiles du Michelin immortalisent leurs meilleures sauces.
Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jeanluc Épallle et Jacques Prudhomme
Jeanluc Épallle livre ici un florilège de ses textes de scène et chroniques qui ont trait avec l'industrie minière, si chère à la culture stéphanoise et à sa propre histoire familiale.
chronique de Jacques Plaine
JEANLUC EPALLLE & JACQUES PRUD’HOMME Les mots dits en sol mineurs Actes graphiques Jeanluc Epallle, comédien, chanteur, chroniqueur radio et auteur de la plupart de ses spectacles. Jacques Prud’Homme, graphiste de formation et photographe par passion, adepte du sténopé depuis 2004. Cette chronique est-elle la 1499ème la 1500ème ou la 1501ème ? Elle est avant tout celle dédiée à l’ami Jeanluc. Pour lui je ne compte pas sur mes doigts, cette chronique sera la 1500ème point barre. La 1500ème en souvenir de quinze années de Fêtes du livre au cours desquelles nous avons eu si souvent l’occasion de travailler avec pour oriflamme et leitmotiv la devise « bienheureux les fêlés ils laissent passer la lumière ». En ce temps-là Jeanluc ne savait pas que le sculpteur Albert Chanut - alors Grand Maître des cafés littéraires de la Fête - était de sa famille et les hasards de la vie ne nous avaient pas encore fait petits cousins « par ricochet ». Dans ce livre Il met en musique ses souvenirs d’hier et d’avant-hier en hommage à ses grands-pères, tous deux mineurs de fond et dont l’un d’eux est remonté au jour en deux morceaux. Des textes illustrés d’étonnants sténopés de Jacques Prud’homme. Un sténopé n’étant pas une malformation du pylore mais une photo réalisée avec une simple boite – qui peut être de conserve - sans objectif, ni viseur mais équipée d’une plaque sensible. Un magnifique ouvrage dans lequel il nous donne à lire quelques-uns des textes qui font sa gloire et celle de « L’Autre Lieu » son théâtre de la Ricamarie. Des textes écrits dans la langue de par ici, le gaga. Oui le gaga mais pas celui que parlaient jadis les pagnots de Chavanelle, les lavandières de la rue des Gauds ou les clapeuses de Couriot. Non, le gaga d’aujourd’hui avec des mots d’autrefois certes, mais des mots proposés avec parcimonie et non pas accumoncelés et jetés à la gratapille dans une diarrhée vernaculaire de pacotille. Des bijoux de mots présentés en majesté dans des textes qui pourraient être de Molière, Audiard ou San Antonio. Des mots qui illuminent les pages de Jeanluc comme les épices et condiments sélectionnés par nos Trois Étoiles du Michelin immortalisent leurs meilleures sauces.
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