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Or


Les Allemands avaient perdu une très grande partie de leur matériel de guerre et des munitions avec l'explosion du Polygone d'artillerie. Il ne leur restait plus grand chose. Aussi décidèrent-ils de ranger tout le matériel restant à la Caserne de Bonne, au centre de Grenoble. Et ils y logèrent la plupart de leurs troupes. Au moins là, les "terroristes" (résistants) n'oseront pas tout faire sauter. Et pourtant, elle aussi, la Caserne de Bonne, allait sauter, causant à l'ennemi, dans la nuit du 1e au 2 décembre 1943, un grand malheur. Cette nouvelle explosion catastrophique pour les Allemands était l'oeuvre d'un polonais, Kospisky, enrôlé de force dans l'armée allemande, ce qui ne l'empêcha pas de travailler avec la Résistance grenobloise sous le surnom d'Eloi.
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By Claude Muller,Annie FrancouLes Allemands avaient perdu une très grande partie de leur matériel de guerre et des munitions avec l'explosion du Polygone d'artillerie. Il ne leur restait plus grand chose. Aussi décidèrent-ils de ranger tout le matériel restant à la Caserne de Bonne, au centre de Grenoble. Et ils y logèrent la plupart de leurs troupes. Au moins là, les "terroristes" (résistants) n'oseront pas tout faire sauter. Et pourtant, elle aussi, la Caserne de Bonne, allait sauter, causant à l'ennemi, dans la nuit du 1e au 2 décembre 1943, un grand malheur. Cette nouvelle explosion catastrophique pour les Allemands était l'oeuvre d'un polonais, Kospisky, enrôlé de force dans l'armée allemande, ce qui ne l'empêcha pas de travailler avec la Résistance grenobloise sous le surnom d'Eloi.
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