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Or
Durant l'été 2002 les éditions Albert René, ceux qui éditent les aventures d'Astérix et Obélix, ont attaqués devant la justice allemande Werner Heuser, propriétaire du site mobilix.org. mobile x étant un acronyme des mots mobiles et unix, était un site dédié au monde de Linux sur les PDA et autres ordinateurs portables. il était reproché au nom mobilix d'être trop proche phonétiquement du mot déposé Obélix. La cours de Munich déclare qu'une similarité d'écriture ou de signification entre les mots Obélix et mobiliX est exclue... depuis Warner Husser optait alors pour le nom tuxmobile.org. on croyait l'affaire finie, mais un arrêt du tribunal de première instance des communautés européennes viens indirectement la remettre au goût du jour en 2005. dans cette affaire, on retrouve les éditions Albert René opposés à l'office de l'harmonisation dans le marché intérieur (OHMI). en effet, en 1997 orange demandait à l'office d'enregistrer une marque communautaire pour ces produits, j'ai nommé MOBILIX. LES ÉDITIONS ALBERT RENÉ NOTE AVEC INSISTANCE QU'IL Y A PLUSIEURS SIMILITUDES : visuellement, quasiment la même longueur une séquence similaire de lettres et phonétiquement ils produiraient des sons très similaires. le tribunal note que les mots mobilix et Obélix n’ont de signification sémantique dans aucune des langues officielles de l’Union européenne... alors que le terme « mobilix » peut être facilement perçu comme faisant référence à quelque chose de mobile ou à la mobilité, le terme « obelix », quant à lui, même si le nom a été enregistré comme une marque verbale, c’est-à-dire sans référence visuelle au personnage de dessin animé, sera aisément identifié par le public moyen au personnage corpulent de la série de bande dessinée, largement connue dans l’ensemble de l’Union européenne. c'est ainsi que le tribunal rejette encore une fois la demande des éditions Albert René.
Durant l'été 2002 les éditions Albert René, ceux qui éditent les aventures d'Astérix et Obélix, ont attaqués devant la justice allemande Werner Heuser, propriétaire du site mobilix.org. mobile x étant un acronyme des mots mobiles et unix, était un site dédié au monde de Linux sur les PDA et autres ordinateurs portables. il était reproché au nom mobilix d'être trop proche phonétiquement du mot déposé Obélix. La cours de Munich déclare qu'une similarité d'écriture ou de signification entre les mots Obélix et mobiliX est exclue... depuis Warner Husser optait alors pour le nom tuxmobile.org. on croyait l'affaire finie, mais un arrêt du tribunal de première instance des communautés européennes viens indirectement la remettre au goût du jour en 2005. dans cette affaire, on retrouve les éditions Albert René opposés à l'office de l'harmonisation dans le marché intérieur (OHMI). en effet, en 1997 orange demandait à l'office d'enregistrer une marque communautaire pour ces produits, j'ai nommé MOBILIX. LES ÉDITIONS ALBERT RENÉ NOTE AVEC INSISTANCE QU'IL Y A PLUSIEURS SIMILITUDES : visuellement, quasiment la même longueur une séquence similaire de lettres et phonétiquement ils produiraient des sons très similaires. le tribunal note que les mots mobilix et Obélix n’ont de signification sémantique dans aucune des langues officielles de l’Union européenne... alors que le terme « mobilix » peut être facilement perçu comme faisant référence à quelque chose de mobile ou à la mobilité, le terme « obelix », quant à lui, même si le nom a été enregistré comme une marque verbale, c’est-à-dire sans référence visuelle au personnage de dessin animé, sera aisément identifié par le public moyen au personnage corpulent de la série de bande dessinée, largement connue dans l’ensemble de l’Union européenne. c'est ainsi que le tribunal rejette encore une fois la demande des éditions Albert René.