Parodian Rhapsody

Dans ce dernier épisode de l'émission, nous allons conclure en répondant à toutes ces questions : A quoi sert la parodie au cinéma ? Pourquoi parodie-t-on ? Pourquoi y a t il de moins en moins de parodies au cinéma et qu’est-ce que ça veut dire ou non sur le 7ième art ? En quoi la parodie nous permet de comprendre le ci néma, qui lui même peut nous permettre de comprendre une époque spatiale ment et temporellement marquée ?

En bref, pourquoi Parodian Rhapsody ?

L'épisode s'appuie encore sur le livre de Dan Harries, Film Parody, mais surtout sur l'ensemble des analyses que nous avons effectué au cours de cette émission.

Merci encore pour ces années. Ce fut mon premier podcast, mais certainement pas mon dernier. Restez connecté sur les réseaux pour vous tenir au courant de ce qui va suivre ! En attendant, bonne écoute !

Dans ce Parodian Rhapsody, nous entamons la conclusion de l'émission à travers Y'a t-il un pilote dans l'avion, le second film des ZAZ.

Cette première partie de la conclusion s'intéresse avant tout à la description des grandes lignes qui font la parodie au cinéma, mais également à sa pragmatique (càd la réception d'une parodie).

J'ai pour cela utilisé le livre de Dan Harries, Film Parody. Il est quasiment indisponible et il n'est qu'en anglais, mais si vous le trouvez, il est vraiment chouette !

Bonne écoute !

Dans ce Parodian Rhapsody, nous remontons aux origines du mouvement étudié précédemment, en allant voir du coté des films du collectif ZAZ. Avec Kentucky Fried Movie, leur premier film, on observe un mécanisme simple, coloré par certaines bonnes idées, dans le cadre d'une structure pas encore étudiée, à savoir le film à sketchs.

Dans ce Parodian Rhapsody, nous allons parler de La Cité de la Peur afin d'éclairer l'idée selon laquelle la parodie ne se résume pas à un genre mais peut être présente dans une oeuvre selon d'autres modalités, comme ici le gag ou l'esprit.

Cela me permet de la même manière de parler d'un film qui met une compréhension riche de certains codes du cinéma au service d'une oeuvre à la liberté faite d'absurde.

Au sommaire de ce Parodian Rhapsody, OSS 117 : Le Caire, Nid d'Espion, une parodie à la fois très classique mais qui pourrait nous réserver quelques surprises sachant qu'il s'agit encore une fois du sérieux et méthodique Hazanavicius à la réalisation. Le statut actuel de ce film pour la génération des 18-35 ans va me permettre également de questionner encore plus en profondeur les liens entre parodie et film culte...

Dans ce Parodian Rhapsody, nous nous intéressons à un film culte Le Grand Détournement : La Classe Américaine.

Il va nous permettre de questionner les différences entre parodie et détournement, mais aussi le cadre légal dans lesquels ils s'inscrivent.

Enfin, nous porterons notre intérêt sur l'étonnante histoire de ce film.

Bonus track : la liste des jeux qui référencent Le Grand Détournement :

https://www.senscritique.com/liste/Les_jeux_avec_une_reference_a_La_classe_americaine/50442

Dans cet épisode spécial de Parodian Rhapsody, j'ai décidé de vous parler de la notion de parodie de façon plus théorique. Le but a été d'essayer de vous montrer l'intérêt d'une telle notion au delà du genre qu'elle représente.

Il est ainsi question de comprendre l'existence d'autoparodies (c'est à dire d'initiatives parodies internes à l'objet qui est parodié) et de parodies inconscientes (c'est à dire d'objet qui sont des parodies sans avoir été créé dans ce but) à l'aide de la compréhension de notre modèle d'industrie culturelle. Plus spécifiquement, l'épisode porte sur les émissions Loft Story et Touche pas à mon Poste.

Pour plus de détails au niveau des quelques auteurs que je cite :

L'invention du quotidien de Michel de Certeau

La Mise en scène de la vie quotidienne de Erving Goffman

Dans le nouveau Parodian Rhapsody, on conclut avec panache la saga Monty Python avec ce que j'estime être l'aboutissement de leur travail : Le Sens de la Vie.

Exemple unique de ce qu'on pourrait appeler "parodie d'auteur", ce film est bien plus qu'une parodie et est en réalité une ode à l'absurde, en soi ultime parodie.

Cet épisode s'est consacré à vous donner envie de voir ce film plus qu'à analyser ce qui de fait est ici inanalysable, ce qui en résulte d'un épisode plus court que d'habitude, mais pourtant qui résume selon moi les enjeux essentiels d'une telle oeuvre.

Dans ce nouvel épisode de Parodian Rhapsody, on continue notre rétrospective sur les Monty Python avec leur second long métrage original, Life of Brian (La Vie de Brian, merci Captain Obvious)

Ce film très singulier nous offre à la fois une affirmation du style et de l'humour des Monty Python, mais également une satire religieuse et politique qui a valu au film une réception mouvementée. Comment la religion et parodie peuvent s'entremêler et peut-on éviter le blasphème ?

Petit bonus : le collègue Mathieu Goux (Ludographie Comparée) a écrit un très bel avis sur Life of Brian sur son blog que je vous invite à lire : http://gouxmathieu.over-blog.fr/2014/04/monty-python-s-life-of-brian-1979-monty-python.html

Pour cette nouvelle saison de Parodian Rhapsody, on s'attaque à un gros -très gros- morceau de la parodie au cinéma, à savoir le travail des Monty Python.

Avec ce premier épisode consacré à Sacré Graal, je vous propose de comprendre les rouages de l'absurde chez les Monty Python et ainsi de comprendre non seulement pourquoi l'on peut dire que Sacré Graal s'apparente à un jeu d'enfant(s) mais aussi de voir quelle est la portée désacralisatrice de cette oeuvre...