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À chaque élection de Miss France, les réseaux sociaux viennent casser l'ambiance. Angélique Angarni-Filopon en a fait les frais, comme d'autres reines de beauté avant elle, victimes d'un harcèlement injuste en raison de leur physique ou de leur couleur de peau.
Journalistes : Lenaïg Le Vaillant et Tatiana Wakam
Réalisation : Julien Louët
Dans cet épisode spécial de Tea Time, nous plongeons au cœur de l’actu people pour décrypter le parcours tumultueux d’Angélique Angarni-Filopon, élue Miss France 2025. Brisant les codes établis, elle devient la première Martiniquaise à décrocher la couronne et la première Miss de plus de 30 ans, marquant ainsi un tournant historique dans l’univers des célébrités et de la royauté de la beauté.
Le 14 décembre dernier, son sacre faisait déjà les gros titres, mais dès ses premiers instants sur le devant de la scène, Angélique se retrouve face à une avalanche de critiques. À 34 ans, elle doit faire face à une vague de commentaires virulents sur les réseaux sociaux, où son âge, son physique et même sa coiffure sont attaqués sans ménagement. Ces réactions, révélatrices des dérives du cyberharcèlement, illustrent la dure réalité des potins et des rumeurs qui circulent dans le monde de Miss France. Dans un climat où chaque détail est scruté, le scandale et la polémique semblent parfois prendre le pas sur la célébration d’un succès historique.
Peu après son couronnement, lors d’une intervention sur Sud Radio, Angélique choisit de rester silencieuse concernant l’attentat contre Charlie Hebdo, décision qui ne tarde pas à enflammer la sphère médiatique. Ce refus de commenter un sujet aussi sensible est interprété par une partie de l’opinion comme une absence d’engagement pour la liberté d’expression, et elle se retrouve alors au centre d’un nouveau tourbillon de critiques. Dans une interview marquante pour Gala, elle affirme avec force : « Je suis de la génération 90. Je me souviens des attentats de Saint-Michel, du 11 Septembre et du Bataclan. Il est aberrant de penser que mon silence puisse être assimilé à un soutien à ces actes, car ma couronne m’impose une neutralité que je ne souhaite pas compromettre. » Ces mots témoignent de sa volonté de ne pas laisser ses convictions personnelles être détournées au profit des attentes de Miss France et des médias.
Éreintée par ces semaines de tempête médiatique et les attaques incessantes sur les réseaux sociaux, la reine de beauté décide de retourner en Martinique pour retrouver ses racines et recharger ses batteries. À son arrivée, elle est accueillie par une foule en liesse, signe indéniable du soutien populaire face à un phénomène de cyberharcèlement qui affecte trop souvent les figures publiques. « À un moment, je me sentais vide, en apnée. Ce retour m’a redonné des ailes », confie-t-elle, illustrant combien ce moment de réconfort était vital pour aborder la suite de son règne avec une énergie renouvelée.
L’histoire d’Angélique illustre la lutte contre le harcèlement en ligne. En brisant les codes de la beauté et en affirmant son identité, elle envoie un message fort : privilégier le respect et l’inclusion face aux critiques et aux rumeurs. Son parcours invite à repenser la manière dont les réseaux sociaux façonnent notre perception de la royauté de la beauté.
Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.
By Voici, la vie des starsÀ chaque élection de Miss France, les réseaux sociaux viennent casser l'ambiance. Angélique Angarni-Filopon en a fait les frais, comme d'autres reines de beauté avant elle, victimes d'un harcèlement injuste en raison de leur physique ou de leur couleur de peau.
Journalistes : Lenaïg Le Vaillant et Tatiana Wakam
Réalisation : Julien Louët
Dans cet épisode spécial de Tea Time, nous plongeons au cœur de l’actu people pour décrypter le parcours tumultueux d’Angélique Angarni-Filopon, élue Miss France 2025. Brisant les codes établis, elle devient la première Martiniquaise à décrocher la couronne et la première Miss de plus de 30 ans, marquant ainsi un tournant historique dans l’univers des célébrités et de la royauté de la beauté.
Le 14 décembre dernier, son sacre faisait déjà les gros titres, mais dès ses premiers instants sur le devant de la scène, Angélique se retrouve face à une avalanche de critiques. À 34 ans, elle doit faire face à une vague de commentaires virulents sur les réseaux sociaux, où son âge, son physique et même sa coiffure sont attaqués sans ménagement. Ces réactions, révélatrices des dérives du cyberharcèlement, illustrent la dure réalité des potins et des rumeurs qui circulent dans le monde de Miss France. Dans un climat où chaque détail est scruté, le scandale et la polémique semblent parfois prendre le pas sur la célébration d’un succès historique.
Peu après son couronnement, lors d’une intervention sur Sud Radio, Angélique choisit de rester silencieuse concernant l’attentat contre Charlie Hebdo, décision qui ne tarde pas à enflammer la sphère médiatique. Ce refus de commenter un sujet aussi sensible est interprété par une partie de l’opinion comme une absence d’engagement pour la liberté d’expression, et elle se retrouve alors au centre d’un nouveau tourbillon de critiques. Dans une interview marquante pour Gala, elle affirme avec force : « Je suis de la génération 90. Je me souviens des attentats de Saint-Michel, du 11 Septembre et du Bataclan. Il est aberrant de penser que mon silence puisse être assimilé à un soutien à ces actes, car ma couronne m’impose une neutralité que je ne souhaite pas compromettre. » Ces mots témoignent de sa volonté de ne pas laisser ses convictions personnelles être détournées au profit des attentes de Miss France et des médias.
Éreintée par ces semaines de tempête médiatique et les attaques incessantes sur les réseaux sociaux, la reine de beauté décide de retourner en Martinique pour retrouver ses racines et recharger ses batteries. À son arrivée, elle est accueillie par une foule en liesse, signe indéniable du soutien populaire face à un phénomène de cyberharcèlement qui affecte trop souvent les figures publiques. « À un moment, je me sentais vide, en apnée. Ce retour m’a redonné des ailes », confie-t-elle, illustrant combien ce moment de réconfort était vital pour aborder la suite de son règne avec une énergie renouvelée.
L’histoire d’Angélique illustre la lutte contre le harcèlement en ligne. En brisant les codes de la beauté et en affirmant son identité, elle envoie un message fort : privilégier le respect et l’inclusion face aux critiques et aux rumeurs. Son parcours invite à repenser la manière dont les réseaux sociaux façonnent notre perception de la royauté de la beauté.
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