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Or
Sportif, drôle et bon vivant, Pierre Cousein est un Lillois de 48 ans qui n’en aura jamais 49. Diagnostiqué il y a dix ans d’un Parkinson précoce et incurable, il s’est éteint ce 24 avril en Belgique selon son choix, entouré de ses proches : il a reçu ce que les Belges appellent, le « soin ultime », une aide active à mourir qui n’est pas encore autorisée en France.
La veille de son départ en Belgique, ce Nordiste a accueilli chez lui deux journalistes de La Voix du Nord pour témoigner de sa maladie et de son combat pour « mourir en bonne santé » selon ses propres mots.
Alors que la loi française sur l’aide active à mourir traîne la patte depuis la dissolution de l’Assemblée qui a stoppé son vote et que l’actuel Premier ministre a souhaité séparer la loi sur les soins palliatifs de celle sur l’aide active à mourir, nous allons revenir aujourd’hui sur ce débat sur la fin de vie en France à travers le témoignage de Pierre Cousein et ceux qui l’ont interviewés à savoir Bérangère Barret, journaliste au service région de La Voix du Nord et Pascal Bonnière chef du service photo-video du journal.
Sportif, drôle et bon vivant, Pierre Cousein est un Lillois de 48 ans qui n’en aura jamais 49. Diagnostiqué il y a dix ans d’un Parkinson précoce et incurable, il s’est éteint ce 24 avril en Belgique selon son choix, entouré de ses proches : il a reçu ce que les Belges appellent, le « soin ultime », une aide active à mourir qui n’est pas encore autorisée en France.
La veille de son départ en Belgique, ce Nordiste a accueilli chez lui deux journalistes de La Voix du Nord pour témoigner de sa maladie et de son combat pour « mourir en bonne santé » selon ses propres mots.
Alors que la loi française sur l’aide active à mourir traîne la patte depuis la dissolution de l’Assemblée qui a stoppé son vote et que l’actuel Premier ministre a souhaité séparer la loi sur les soins palliatifs de celle sur l’aide active à mourir, nous allons revenir aujourd’hui sur ce débat sur la fin de vie en France à travers le témoignage de Pierre Cousein et ceux qui l’ont interviewés à savoir Bérangère Barret, journaliste au service région de La Voix du Nord et Pascal Bonnière chef du service photo-video du journal.