On se plaint du formatage, on désespère en contemplant les films prédigérés dont les grands studios inondent les écrans, on pleure à chaudes larmes sur la morale perdue des producteurs d'autrefois. Bref, on se dit que le cinéma part en vrille et qu'il n'a que trop souvent perdu le droit d'être qualifié de septième art.
Et puis on tombe sur des pépites, des œuvres qui ne ressemblent à aucune autre, qui donne le sentiment de s'inventer sous nos yeux. Et l'espoir renaît. C'est ce qui m'est arrivé cette semaine, et deux fois s'il vous plait ! J'avais raté...