Aurélien Douay est Product Strategist au sein de Riplee. Dans ce nouvel épisode qui prend place au cœur des coulisses de l’agence, il nous explique les spécificités de son métiers, et la façon dont avec ses équipes, il gère les projets des clients et les aide à prendre les meilleures décisions.

En tant que product strategist, Aurélien a pour mission de définir les bases d’un produit ou d’un service digital. En fonction des problématiques de ses clients, il travaille main dans la main avec eux pour co-construire une solution adaptée à leurs besoins et aux problèmes utilisateurs.

En 2021, plusieurs tendances digitales se sont démarquées : Les NFT, la blockchain et le Metaverse. Ils sont au cœur du métier d’Aurélien, qui se donne pour mission de conseiller au mieux ses clients sur ces sujets d’avenir. Tester ces technologies émergentes et comprendre leur utilité et leur potentielle application à sa marque ou son business est essentiel.

Lorsqu’un client fait appel à l’expertise d’Aurélien, ce dernier analyse son écosystème, ses problématiques, ses cibles pour les allier au mieux avec de la technologie. Aurélien et son équipe apportent leur avis et leur œil d’expert afin d’évaluer la faisabilité des projets et leur complexité. Ainsi, ils peuvent définir des priorités et des critères propres à chaque enseigne et à chaque produit, et permettre au client de choisir l’idée qu’il souhaite investiguer.

Face aux tests d’une application, une interface vocale, un prototype, ce sont les retours utilisateurs qui indiquent si le projet est prêt à être développé. La finalité est de développer des projets pérennes, qui resteront dans les habitudes et évolueront main dans la main avec l’entreprise.

Au sein de Riplee, l’expertise des équipes est incontestable. Experts en produits digitaux, rester humbles et pragmatiques est la clé de leur réussite. « On n’est pas là pour inventer le marché, mais pour faire en sorte que nos clients le suivent, » indique Aurélien.

Retrouvez Aurélien Douay sur Twitter pour suivre ses actualités.

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Grégoire Lacave porte les deux casquettes de directeur technique et directeur de projet chez Riplee. Dans ce nouvel épisode qui prend place au cœur des coulisses de l’agence, il nous explique la complémentarité de ses deux rôles, et comment il développe des produits digitaux en fonction des besoins et attentes des clients.

La double casquette de Grégoire lui permet d’avoir une vision globale en amont des projets et d’accompagner au mieux les clients avant la vente. Il s’agit de les conseiller sur les décisions à prendre en étant pertinent technologiquement et de superviser, par la suite, le développement du projet ou du produit.

Lorsque Riplee fabrique une application, un choix technique doit être fait dans un premier temps entre les solutions hybrides et natives. Le natif apporte une plus grande flexibilité de développement et une facilité d’intégration de composants.

L’hybride quant à lui peut-être moins performant, mais est plus intéressant financièrement, puisqu’il ne fait appel qu’à une équipe de développeurs, quand deux sont nécessaires pour développer une solution native.

Si la question du budget est au cœur des préoccupations des clients, la complexité du projet doit aussi être prise en compte dans la décision du client. « Il y a un choix stratégique à opérer entre des solutions hybride et native. » Une fois la technologie choisie, les approches méthodologiques entrent en jeu : le client a le choix entre un prix fixe, un périmètre figé estimé en amont, et une méthodologie agile qui permet au client et à l’agence de faire évoluer le projet au fur et à mesure de son développement. Cette décision dépend des contraintes budgétaires du client mais aussi des fonctionnalités et de la complexité du produit.

À travers les possibilités techniques et méthodologiques que proposent les équipes de Grégoire, Riplee est capable d’accompagner toute typologie d’entreprises en fonction de leurs problématiques. Il y a toujours une solution adaptée au client, aux enjeux et aux besoins.

Retrouvez Grégoire Lacave sur Linkedin pour en savoir plus sur le développement des applications mobiles.

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Cette semaine, Manuel Pardo, chef de pr ojet chez TFOU MAX et Côme Redon, cofondateur de l’agence Riplee, nous expliquent les rouages du succès de TFOU MAX, la plateforme de SVOD de TF1 dédiée aux enfants.

TFOU MAX est une plateforme de vidéo à la demande par abonnement lancée en 2015 par TF1. Rattachée à TFOU, la plateforme se veut adaptable à tous les écrans, tout en créant un contenu bien structuré, en prenant en compte le fait que l’utilisateur qui paye l’abonnement est différent de celui qui le consomme. 

« L’enfant, consommateur du produit, y cherche une offre récréative, quand le parent qui paye l’abonnement est plutôt à la recherche d’une offre éducative. » Partant de ce constat, la plateforme met tout en œuvre pour satisfaire équitablement parents et enfants.

Le bien-être des enfants est au coeur de la stratégie de TFOU MAX. Celle-ci met en avant une incitation des enfants à avoir une consommation raisonnable de contenu, en trouvant un bon équilibre entre les usages récréatif et éducatif. « Les utilisateurs les plus fidèles de la plateforme en ont un usage raisonné, où parents et enfants consomment le service ensemble ». C’est sur cet axe que Manuel construit la stratégie de la marque. Le but est de provoquer un dialogue entre le parent et l’enfant. « C’est à la fois l’occasion pour les parents de présenter les héros de leur enfance, et de s’approprier les héros de leurs enfants. »

La plateforme mise sur son aspect sécuritaire pour attirer son public et le fidéliser. Elle permet aux parents de contrôler ce que regardent leurs enfants, de limiter le temps d’écran, de définir une tranche d’âge. Les environnements à destination des parents et des enfants sont bien distincts. « Face à TFOU MAX, l’enfant est dans un environnement complètement sécurisé et adapté à son âge. On fournit aux parents un espace dans lequel il peut paramétrer son usage du service. »

A l'avenir, l'équipe de TFOU MAX prévoit de recentrer son service auprès des parents. La plateforme a pour ambition de se positionner comme « le service des parents pour les enfants, en les accompagnant dans l’apprentissage que son enfant fait de l’écran. »

Retrouvez Manuel Pardo sur LinkedIn pour ne rien louper de l'actualité de TFOU MAX.

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Cette semaine le Replay vous emmène à la rencontre de Carlos Nunez, responsable des applications mobiles et des outils à destination du public de l'UEFA pour parler des enjeux de l'application Euro 2020 qui accompagne les fans avant, pendant, et après les matchs de football. 

Pour cet épisode, nous sommes en compagnie d'Alexandre De Saedeleer, CEO de l'agence Riplee.

On ne présente plus l'UEFA, bien connue pour ses missions de promotion de la pratique du football en Europe, et pour l'organisation de compétitions majeures : Euro, Champions League, Europa League. Des compétitions qui s'adressent aussi bien aux hommes qu'aux femmes, seniors comme juniors.

L'application Euro 2020 propose aux supporters toutes les informations sur les matchs en cours et leurs clubs favoris. Il s'agit d'offrir une expérience personnalisée qui accompagne les spectateurs avant, pendant et après le match, allant jusqu'à délivrer un pass permettant de prendre les transports publics pour les supporters munis d'un ticket. Des fonctionnalités perçues comme un réel plus par les utilisateurs.

L'infrastructure de l'application est suffisamment robuste pour supporter une montée en trafic rapide, par exemple lorsque des millions se connectent en début de match ou à la suite d'un but marqué. L'UEFA veille également à ce que l'information qu'elle distribue sur les résultats des matchs soit parfaitement synchronisée. Cela passe notamment par la construction d'une base de données solide permettant de livrer des notifications push le plus rapidement possible.

Après l'Euro 2020, l'application restera disponible pour les passionnés de football et se renouvellera pour chaque nouvelle compétition européenne et internationale : tout d'abord la Ligue des Nations, puis les qualifications des pays européens pour la Coupe du Monde 2022. 

Ce basculement d'un événement court à des compétitions sur un espace temps plus long implique de nouveaux enjeux : comment maintenir en haleine les fans pendant plus de neuf mois ? Carlos propose plusieurs réponses.

Retrouvez Carlos et Alexandre sur LinkedIn pour tout savoir sur la digitalisation des événements européens de football.

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Cette semaine, Jean-François Grang, cofondateur de Purchasely et Côme Redon, Sales Director de l'agence Riplee, nous expliquent les évolutions de l'abonnement in-app.

Nous assistons depuis plusieurs années à une transformation du modèle économique des médias en ligne. Longtemps basé sur un système d'information gratuite financée par la publicité, le fonctionnement des médias vit un basculement vers le modèle freemium.

Ce modèle par abonnement entraîne des problématiques très concrètes, notamment pour s'adapter aux normes de chaque store (Apple, Android, Microsoft, Amazon, Huawei).

C'est ainsi qu'en 2019, Jean-François Grang a créé Purchasely, une plateforme de pilotage qui permet d'opérer des abonnements mobiles pour les médias en ligne.

Purchasely fournit une solution clé en main, homogène pour tous les stores, permettant d'intégrer rapidement le système d'abonnement dans son application avec un maximum de fonctionnalités pour optimiser ses performances commerciales et marketing.

Il s'agit de mettre à disposition des marketeurs une boite à outils pour accélérer la prise d'abonnements. La plateforme gère non seulement l'encaissement, mais multiplie les points de rencontre entre le client et l'abonnement, en apportant une attention particulière au suivi des clients après l'abandon de panier.

Purchasely accompagne ses clients dans la personnalisation de leur expérience utilisateur et dans la mise à jour régulière des paywall afin d'améliorer la rétention des clients qui seraient enclins à désactiver leur abonnement.

Il importe de pouvoir identifier les signaux faibles pour anticiper les désabonnements et les contrer en composant de nouvelles offres pour les abonnés.

Suivez Jean-François et Côme sur LinkedIn pour en savoir plus sur la mise en place rapide de solutions d'abonnement pour vos applications.

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Dans cet épisode spécial du Replay, nous avons le plaisir de recevoir 4 invités : Geert Kelchtermans, Director Digital Products & Experience chez Proximus, Olivier De Reu, Head of Digital & Emerging Solutions chez Proximus,  Chloé Hannouille, Digital Emerging & Transformation Lead chez Proximus et Alexandre De Saedeleer, CEO de l'agence Riplee. Ensemble, ils nous dévoilent la stratégie digitale de Proximus, leader de la télécommuniation en Belgique.

La transformation de l'opérateur historique de la Belgique s'accélère à grands pas. En permettant à un maximum de clients d'accéder à la fibre et à la 5G, en intégrant une offre de services toujours plus large en ligne (consultations médicales, banque) ou en s'inscrivant dans une démarche écoresponsable, Proximus place le digital au coeur de sa stratégie #inspire 2022.

Cette évolution a été rendue possible grâce à une culture d'entreprise centrée sur l'amélioration de l'expérience client. Cela implique de suivre continuellement les évolutions du marché des nouvelles technologies pour savoir les devancer. Une cellule Emerging Tech a ainsi été mise en place pour anticiper les besoins futurs et expérimenter. Convaincue que les nouvelles habitudes résultant de la pandémie perdureront et créeront de nouvelles opportunités technologiques, Poximus accélère le déploiement de ses nouveaux services digitaux.

Avec son Robotic Process Automation (RPA) automatisant les tâches fastidieuses des entreprises pour orienter les employés vers des missions plus créatives, Proximus se réinvente et se positionne comme un acteur majeur du monde de demain. En témoigne ses travaux en cours sur la réalité étendue, accompagnée par l'agence Riplee. L'objectif est clair : il s'agit d'offrir une expérience nouvelle, hors normes, dans laquelle les utilisateurs seront pleinement intégrés.

Suivez Geert, Chloé, Olivier et Alexandre sur LinkedIn pour tout savoir sur la transformation digitale du plus grand opérateur de télécommunication belge.

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En cette période d'Euro 2021, Manu Leroy, Directeur Marketing & Communication de la Royal Belgian Football Association, et Alexandre De Saedeleer, CEO de l'agence Riplee nous parlent de la stratégie digitale mise en place par la fédération belge de football, première au classement FIFA.

Alors que les Diables Rouges reviennent en force dans la compétition mondiale, la fédération a entamé sa révolution digitale en créant son application RBFA en mars 2021. Au programme : des contenus exclusifs sur le backstage des équipes belges, pour tous les supporters du championnat et des Diables Rouges.

La fédération collecte ainsi des données pour mieux comprendre les envies de ses supporters et leur offrir la meilleure expérience possible. En s'exprimant via son propre média, la RBFA s'assure d'avoir la main sur sa communication.

L'application s'adresse autant aux membres de la fédération qu'aux supporters souhaitant acheter leurs tickets pour accéder au stade, accéder aux actualités des clubs, aux résultats et aux extraits vidéo des matchs.

De nouvelles fonctionnalités de gamification ont été ajoutées dernièrement pour accentuer l'engagement des fans au sein de l'application avec la création de groupes pour établir des pronostics sur les matchs de l'Euro, des quiz.

Par ailleurs, l'application permettra bientôt aux 500 000 membres de la fédération de tout faire avec leur téléphone : s'enregistrer dans un club, accéder à des réunions en visio pour se défendre après un carton rouge, enregistrer leurs notes de frais, remplir les documents administratifs suite à une blessure... Il s'agit de faciliter la vie des joueurs, des coachs et des arbitres.

Le digital permet à la RBFA d'offrir un service maximal à tous les fans de football, professionnels comme amateurs.

Suivez Manu et Alexandre sur LinkedIn pour tout savoir sur la place du digital au cœur du football belge.

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Cette semaine le Replay vous emmène à la rencontre d'Antoine Chotard pour parler des enjeux de la politique de contenus chez Samsung, en compagnie de Côme Redon, directeur commercial de Riplee. 

Si la crise sanitaire a bien prouvé une chose, c'est que la télévision n'est pas morte. Longtemps annoncée comme dépassée par l'expérience offerte par les smartphones, elle a su réinventer son offre pour répondre aux nouveaux usages de ses utilisateurs : outil de travail dans le cadre du homeworking et vecteur de divertissement dans le cadre du gaming, sans renoncer à son rôle historique de pilier audiovisuel. 

La force de Samsung, leader sur le marché des téléviseurs et des mobiles, est d'avoir su imaginer une expérience multimédia avec des contenus accessibles sur tous les écrans. 

Fort de son expérience dans l'acquisition et distribution de contenus dans le cinéma, Antoine Chotard est chargé du développement du service Samsung TV Plus. Pensé comme une combinaison de contenus linéaires et à la demande, ce service intègre un bouquet de 50 chaines numériques. Une proposition gratuite, mainstream et accessible au plus grand nombre. 

En outre, l'offre de Samsung TV Plus permet par son ciblage d'affiner les propositions de contenu en fonction des goûts de chacun, en mettant l'utilisateur au centre de son dispositif. A l'heure de la digitalisation, ce n'est plus au spectateur de se conformer à l'offre télévisée, mais aux contenus de s'adapter aux préférences des utilisateurs. 

Dans les prochains mois, Samsung TV Plus sera accessible sur l'ensemble des 19 millions de mobiles du marché. Le géant de l'électronique est aussi ambitieux dans la conception de ses services que de son hardware. 

Retrouvez Antoine et Côme sur LinkedIn pour tout savoir sur la digitalisation de l'offre télévisuelle. 

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Cette semaine, Cyril Jaquet, responsable de produits innovants, nous explique la stratégie de la Radio Télévision Suisse (RTS) pour attirer de nouveaux publics. Il est accompagné par Alexandre De Saedeleer, CEO de Riplee et de Tapptic. Ensemble, ils dévoilent comment le digital permet d’informer de nouveaux publics de façon ludique.

Depuis plusieurs années, la RTS s’est fixée un objectif : s’adresser à de nouveaux publics en leur proposant des contenus pertinents sur tous les supports. Elle a ainsi adapté sa ligne éditoriale pour tenir compte des usages de la population mobile, en proposant des formats plus courts allant droit au but.

Avec l’aide de Riplee, la Radio Télévision Suisse est parvenue à concevoir une application simple d’accès, adaptée à nos habitudes mobiles. Par des quizz et des défis photos, elle est parvenue à créer une véritable communauté engagée qui apprend en jouant. Associée à des événements sportifs, culturels ou caritatifs, l’application permet aux spectateurs de devenir acteurs et propose régulièrement des lots à gagner.

En parallèle, la Radio Télévision Suisse a créé Tataki, un média 100% en ligne qui reprend les codes de la pop culture pour s’adresser aux 15-25 ans. 

Nul n’en doutera : la RTS a compris son époque et a trouvé la recette pour élargir sa culture générale en s’amusant.

Suivez Cyril et Alexandre sur LinkedIn pour découvrir comment répondre aux attentes des audiences mobiles

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Aujourd’hui, Samuel Westberg nous apprend comment convertir les audiences passives en communautés engagées. CCO de LiveLike, il nous explique les enjeux de la digitalisation pour les acteurs du broadcast en compagnie d’Alexandre De Saedeleer, CEO de Riplee et de Tapptic.

La génération Z est particulièrement demandeuse d’expériences digitales fortes, de moments où elle peut se retrouver pour interagir ensemble sur des actions en direct, notamment au cours d’événements sportifs.

C’est là toute la pertinence de LiveLike, qui propose aux entreprises de broadcast des solutions afin d’améliorer le degré d’engagement de leur communauté. Cela passe par des outils intégrables au sein d’applications mobiles que développées par Riplee.

Dans la rude concurrence de l’économie de l’attention, LiveLike offre la possibilité de concentrer l’attention de nombreux utilisateurs sur leur écran de smartphone ou de tablette.

La digitalisation ouvre ainsi de nouveaux canaux pour les diffuseurs et les annonceurs.

Nous assistons à la montée en puissance d’un monde qui proposera des expériences plus profondes, plus personnalisées, davantage en adéquation avec les attentes du public.

Retrouvez Samuel et Alexandre sur LinkedIn pour suivre les évolutions du digital.

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