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Or


Aujourd’hui, je vous propose de découvrir le témoignage poignant de Prémila dont la vie a basculé à seulement 24 semaines de grossesse.
En un instant, la situation s’aggrave et sa fille naît trop tôt.
Ce jour-là, malgré tout l’optimisme dont elle fait preuve, elle comprend que sa grossesse s’arrête là. Qu’il n’y aura pas de troisième trimestre, pas de cours de préparation à la naissance ni de dernière échographie rassurante. Tout ce qu’elle imaginait vole en éclats. Le temps se fige, suspendu entre l’inquiétude et l’urgence.
Elle découvre alors un autre monde — celui de la prématurité extrême, où chaque heure, chaque minute, voire même chaque seconde compte et où l’on apprend à devenir parent sans vraiment réaliser ce qu’il se passe autour de soi.
Car en néonatologie, on oscille entre angoisse, espoir, examens médicaux à répétition, inquiétude, incertitudes. Et pour Prémila et son mari, cet enfer va durer quatre mois et demi.
Quatre mois et demi à vivre entre l’espoir et la peur, le bruit des machines et l’horizon parfois lointain, de pouvoir enfin rentrer chez soi, tous ensemble. Et ce n’est pas tout car une fois à la maison, ce n’est malheureusement pas la fin du parcours.
Car le quotidien est tout aussi exigeant : la fatigue extrême, le contrecoup émotionnel, et tous les suivis médicaux... Et dans tout cela, je ne parle même pas de la récupération liée au post-partum et à une naissance par césarienne…
Dans cet épisode, Prémila nous raconte l’attente, l’angoisse, la force qu’il a fallu puiser jour après jour pour accompagner son bébé dans ce combat pour la vie. Elle nous explique aussi comment, de cette épreuve, est née ensuite, plus tard, une envie d’aider les autres parents à traverser cette tempête de la néonatologie — en devenant bénévole pour l’association Né Trop Tôt.
Ce témoignage met des mots sur ce que vivent de nombreux parents, malheureusement très souvent dans le silence. Car comment expliquer à ses proches ce que l’on vit lorsqu’on a aussi peu d’énergie et qu’on préfère la garder pour aider son bébé à s’en sortir ?
Un immense merci à toi Prémila pour ta confiance, ta générosité, et pour avoir trouvé la force de partager ce chapitre si intime et si puissant de ta vie. J’ai été très touchée par ton histoire et ton optimisme à tout épreuve.
Enfin, un hommage tout particulier à Natila, véritable force de la nature, qui a tout juste fêté ses 4 ans. Et un autre hommage à Mael, son grand frère parti trop tôt il y a de ça dix ans, mais dont la mémoire continue de vivre dans vos cœurs.
By ParenthoodAujourd’hui, je vous propose de découvrir le témoignage poignant de Prémila dont la vie a basculé à seulement 24 semaines de grossesse.
En un instant, la situation s’aggrave et sa fille naît trop tôt.
Ce jour-là, malgré tout l’optimisme dont elle fait preuve, elle comprend que sa grossesse s’arrête là. Qu’il n’y aura pas de troisième trimestre, pas de cours de préparation à la naissance ni de dernière échographie rassurante. Tout ce qu’elle imaginait vole en éclats. Le temps se fige, suspendu entre l’inquiétude et l’urgence.
Elle découvre alors un autre monde — celui de la prématurité extrême, où chaque heure, chaque minute, voire même chaque seconde compte et où l’on apprend à devenir parent sans vraiment réaliser ce qu’il se passe autour de soi.
Car en néonatologie, on oscille entre angoisse, espoir, examens médicaux à répétition, inquiétude, incertitudes. Et pour Prémila et son mari, cet enfer va durer quatre mois et demi.
Quatre mois et demi à vivre entre l’espoir et la peur, le bruit des machines et l’horizon parfois lointain, de pouvoir enfin rentrer chez soi, tous ensemble. Et ce n’est pas tout car une fois à la maison, ce n’est malheureusement pas la fin du parcours.
Car le quotidien est tout aussi exigeant : la fatigue extrême, le contrecoup émotionnel, et tous les suivis médicaux... Et dans tout cela, je ne parle même pas de la récupération liée au post-partum et à une naissance par césarienne…
Dans cet épisode, Prémila nous raconte l’attente, l’angoisse, la force qu’il a fallu puiser jour après jour pour accompagner son bébé dans ce combat pour la vie. Elle nous explique aussi comment, de cette épreuve, est née ensuite, plus tard, une envie d’aider les autres parents à traverser cette tempête de la néonatologie — en devenant bénévole pour l’association Né Trop Tôt.
Ce témoignage met des mots sur ce que vivent de nombreux parents, malheureusement très souvent dans le silence. Car comment expliquer à ses proches ce que l’on vit lorsqu’on a aussi peu d’énergie et qu’on préfère la garder pour aider son bébé à s’en sortir ?
Un immense merci à toi Prémila pour ta confiance, ta générosité, et pour avoir trouvé la force de partager ce chapitre si intime et si puissant de ta vie. J’ai été très touchée par ton histoire et ton optimisme à tout épreuve.
Enfin, un hommage tout particulier à Natila, véritable force de la nature, qui a tout juste fêté ses 4 ans. Et un autre hommage à Mael, son grand frère parti trop tôt il y a de ça dix ans, mais dont la mémoire continue de vivre dans vos cœurs.

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