La semaine dernière, trois ex-cadres d’Ubisoft étaient à la barre du tribunal de Bobigny pour des faits de harcèlement sexuel et moral, complicité de harcèlement sexuel et moral et tentative d’agression sexuelle.

Quasiment cinq ans après la publication de témoignages d’anciennes employées dans des enquêtes de Numerama et Libération, les audiences ont pu permettre d’entendre la défense des prévenus.

Une défense qui a permis de mettre en relief, comme rarement auparavant, les nombreuses failles systémiques du fonctionnement d’Ubisoft, mais aussi peut-être plus largement de l’industrie du jeu vidéo.

Management inexistant, culte du créatif et culture geek toxique… Héloïse était présente au procès et vous en fait le compte-rendu.

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