Les causes de la violence des hommes sont peu souvent discutées, comme s’il s’agissait d’un tabou. Toutefois, les statistiques sont clairement à l’effet qu’ils sont responsables de la grande majorité des actes violents ou criminels.

Dans cet épisode, nous discutons avec Claudia Champagne, Directrice Générale de l’organisme Accord Mauricie, qui vient en aide aux hommes qui ont des comportements violents.

Au cours de cet entretien, nous comprendrons pourquoi certains hommes ont recours à la violence dans leur relation, ce que cache cette violence et comment son organisme s’y prend pour encourager le changement de ces comportements.

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Si vous souhaitez consulter le site d’Accord Mauricie, consultez ce lien: https://accordmauricie.com/

Si vous souhaitez consulter le site d’À cœur d’hommes, un réseau d’organisations qui viennent en aide aux hommes ayant des comportements violents, consultez ce lien. Vous serez en mesure de trouver les services disponibles dans votre région, au Québec: https://www.acoeurdhomme.com/

Si vous souhaitez avoir des informations sur la violence domestique, consultez le site de SOS Violence Conjugale: https://sosviolenceconjugale.ca/fr

Ou contactez les par téléphone: 1 800 363-9010

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Création et animation: Caroline Lemay

Son et montage: Guy Lafrance

Reprendre son pouvoir après une relation abusive est une étape nécessaire mais ce chemin est parsemé d’autant de cadeaux que de défis.

Quand on parle de reprise de pouvoir dans ces circonstances, on parle évidemment des cadeaux qui sont tous attendus et mérités, mais les défis sont souvent gardés sous silence.

Or, si nous ne parlons pas des défis qui sont inhérents à la reprise de pouvoir, lorsque nous y sommes confrontés, les difficultés qu’ils nous font vivre peuvent être perçues comme une faiblesse de notre part ou d’une incapacité à atteindre le bien-être auquel on aspire.

De ce fait, parler des défis de la reprise de pouvoir est tout aussi important que de parler des cadeaux puisque cela permet d’avoir une idée réaliste du chemin attendu. Cette vision réaliste de ce qui nous attend nous permet de savourer les cadeaux que nous recevons et d’aborder les défis et difficultés qui sèment ce parcours, avec bienveillance pour soi et persévérance.

Donc pour parler de ce parcours courageux et prometteur qu’est la reprise du pouvoir, je discute avec Nancy Patry, intervenante aux affaires externes à la Maison Hina, une maison d’hébergement pour les femmes victimes de violences conjugales, avec ou sans enfants, basée à St-Jean-sur-le-Richelieu.

Pour visiter la page Facebook de la Maison Hina: https://www.facebook.com/Maison-Hina-643992735731878/

Pour contacter la Maison: 450-346-1645

Pour se renseigner sur les dynamiques de violences: https://maisons-femmes.qc.ca/publications/

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Les thèmes abordés:

Le mandat de la Maison Hina;

La violence: une questions qui implique tout le monde;

Savoir reconnaître le cycle de la violence pour connaître ses effets et reprendre le pouvoir perdu;

Les mythes et illusions liés au bonheur et la reprise du pouvoir;

Les peurs et les risques d'auto-sabotage dans le parcours de reprise du pouvoir;

Composer avec l’entourage pendant cette période;

L’importance de l’accompagnement pendant ce parcours.

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Création et animation: Caroline Lemay

Son et montage: Guy Lafrance

On conçoit souvent la violence par des coups et des paroles blessantes. Toutefois, la violence peut également se manifester par des gestes, paroles et attitudes qui sont associés au sentiment amoureux. Sous le couvert de mots doux, de compliments ou de sérénades, on fait comprendre à l’autre ce que l’on aime et ce que l’on attend d’elle.lui. 

Lorsque ces attentes ne sont pas satisfaites, des conséquences apparaissent. Ces réprimandes peuvent se traduire par des gestes subtils comme des reproches, de la bouderie, ou par des gestes plus violents comme le dénigrement, l’intimidation, l’humiliation publique ou même, de la violence physique. 

Bref, les mots doux servent à installer un contrôle autour de la personne pour satisfaire les besoins de la personne qui contrôle, sans égard aux besoins de celle qui est contrôlée. 

Cette dynamique décrit le contrôle coercitif. Il s’agit d’une forme de violence qui laisse des traces certes invisibles mais considérablement oppressantes pour les personnes qui les subissent. 

Pour nous en parler, je reçois Roxane Prenovost, coordinatrice à la Maison Passe-R-Elle, une maison qui vient en aide aux femmes victimes de violences conjugales ainsi qu’à leurs enfants, dans les Hautes-Laurentides. 

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Les thèmes abordés: 

Ce que font les maisons d’hébergement pour femmes; 

Identifier les violences qui se manifestent sous l’apparence des gestes d’amour ou de bienveillance; 

Le rôle que joue les normes sociales dans la manifestation de ces violences; 

Se conformer aux attentes de l’autre pour assurer l’harmonie et la paix; 

Les drapeaux rouges du contrôle coercitif; L’intention de contrôle pour comprendre les rouages de cette violence et la responsabilité commune du respect mutuel; 

Le contrôle coercitif par la sexualité; La manipulation pour installer une dynamique de contrôle; 

Sortir de ces situations et les difficultés possibles à le faire; 

Évaluer et préserver la santé de sa relation; 

Les différents types de violences. 

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Pour en savoir plus sur le contrôle coercitif ou sur les différentes formes de violences, vous pouvez consulter la page des publications du Regroupement des maisons de femmes victimes de violence conjugale: https://maisons-femmes.qc.ca/publications/ 

Vous pouvez également consulter les ressources éducatives offertes par SOS Violence Conjugale: https://sosviolenceconjugale.ca/fr 

Pour trouver une maison d’aide et d’hébergement: https://maisons-femmes.qc.ca/maisons-membres/ 

Pour consulter le site de la Maison La Passe-R-Elle: http://www.maisonpasserelle.com/

Pour contacter SOS Violence conjugale: 1 800 363-9010

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Création et animation: Caroline Lemay

Son et montage: Guy Lafrance

Être en relation, c’est vouloir laisser entrer quelqu’un dans notre espace personnel, le partager et dans ce partage, laisser l’espace à l’autre pour qu’elle.il puisse faire la même chose.

Toutefois, s’ouvrir, c’est aussi mettre au jour nos différences, ce qui nous distingue des autres. Laisser l’autre s’ouvrir, c’est aussi prendre la responsabilité de protéger sa spécificité, quelle qu’elle soit.

Afin d’aborder cette vulnérabilité avec confiance et sérénité, développer un courage relationnel devient essentiel.

Pour en discuter, je vous invite à cette conversation citoyenne avec Mélanie R., avec qui je démystifie cette notion aussi belle que nécessaire.

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Les thèmes abordés:

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Création et animation: Caroline Lemay

Son et montage: Guy Lafrance

Que ce soit positivement ou non, les personnes qui s’identifient comme trans font réagir. Elles remettent en question notre rapport à notre première identité, le genre et nous confrontent aux possibles à l’extérieur de celui-ci.

Ces identités nous font comprendre qu’à l’extérieur de cette boîte qu’est le genre, se trouve toute notre humanité, la richesse de notre complexité qui ne demande qu’à se déployer dans le monde.

Afin de mieux comprendre cette expérience humaine qu’est l’identité trans, tant dans sa beauté que sa complexité et des possibles qu’elle rend accessibles, je reçois Mademoiselle Pascale Drevillon, actrice et elle-même, femme trans.

Elle nous parle de son expérience, de sa vision de la vie, et la richesse que les identités trans apportent à notre société.

Pour consulter le site web de Pascale: https://www.pascaledrevillon.com/

Pour suivre Pascale sur Instagram: @pascaledre

Les thèmes abordés:

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Création et animation: Caroline Lemay

Son et montage: Guy Lafrance

On voit souvent la sensualité comme une invitation à la sexualité, une disponibilité sexuelle, comme si un consentement tacite était donné par le simple fait d'être sensuel.le. 

Cette manière de voir la sensualité peut créer un sentiment de danger chez les personnes qui souhaitent l'afficher ou la manifester et ainsi, les obliger à occuper leurs espaces intérieur et extérieur différemment, à restreindre leur expression de soi, pour ne pas s'exposer à un risque potentiel.

Toutefois, si nous voyions la sensualité plutôt comme une opportunité pour renouer avec nos sensations pour mieux comprendre notre monde intérieur et prendre la responsabilité de nos désirs, peut-être que notre rapport avec elle changerait considérablement!

Dans ce épisode, je discute avec l'artiste burlesque Galadriel Caresse afin de mieux comprendre comment et pourquoi la sensualité serait davantage une découverte de soi qu'une invitation à la sexualité.

Les thèmes qui seront abordés:

- La transformation qu'apporte la reconnexion avec sa sensualité;

- Notre responsabilité face à nos désirs;

- La reconnexion avec nos émotions;

- L'importance de la bienveillance dans cette (re)découverte de soi;

- Les bénéfices de cette reconnexion à soi;

- Revisiter et réinvestir notre rapport au plaisir;

- Le lien entre la sensualité, la sexualité et le consentement de qualité.

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Si vous souhaitez suivre Galadriel Caresse sur les réseaux sociaux:

- Facebook: @galadrielcaresseburlesque

- Instagram: @galadriel.caresse

Si le burlesque vous intéresse et vous aimeriez suivre des cours (donc celui de Galadriel!), visitez le site de l'école Arabesque Burlesque, situé à Montréal: https://www.arabesqueburlesque.com/fr/cours-montreal-maintenant 

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Création et animation: Caroline Lemay

Son et montage: Guy Lachance

En plus de subir plusieurs préjugés et être davantage à risque d'abus que les personnes "capables", les personnes en situation de handicap sont souvent perçues comme n'ayant ni désirs ni besoins sexuels. Or, ce préjugé, en plus d'être faux, limite leur capacité à avoir accès à de l'information fiable et adaptée à leur réalité et leurs capacités. Socialement, en s'intéressant davantage à la santé sexuelle et aux besoins des personnes en situation d'handicap, elles seraient mieux à même prendre des décisions qui traduisent leurs besoins et leurs désirs réels. 

De plus, nous aurions tous accès à une autre approche de l'intimité et de la sexualité qui permettrait d'en développer une vision qui soit plus riche et diversifiée. 

Pour discuter de cette réalité dont on entend trop rarement parler et pour comprendre comment nous gagnerions tous à mieux se renseigner, nous échangeons avec Laurence Raynault-Rioux, coordonnatrice du projet ACSexe+ de la Fédération du Québec du planning des naissances (FQPN). 

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Les thèmes abordés: 

- Le projet ACSexe +, l'importance de la santé sexuelle et de parler de capacitisme; 

- L'importance de reconnaître le handicap sans définir la personne en fonction de cet aspect de son identité; 

- Les préjugés liés à la sexualité des femmes en situation de handicap et pourquoi ils persistent; 

- L'impact des préjugés sur la capacité à s'informer adéquatement sur la santé sexuelle et la sexualité; 

- Le regard que porte la société sur la sexualité des personnes en situation de handicap; 

- L'absence de représentation d'une sexualité saine pour les personnes en situation de handicap; 

- L'importance de remettre en question la vision capacitiste de la sexualité, l'importance de connaître son corps et de savoir communiquer; 

- La plus-value, pour la société, de normaliser la sexualité de ce groupe; 

- L'importance d'écouter les personnes marginalisées et les difficultés qu'elles vivent quant à leur capacité de donner un consentement de qualité.   

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Des ressources pour se renseigner sur cet enjeu: 

(si le lien ne fonctionne pas à partir de votre appareil, simplement le copier-coller et l'inscrire dans la barre de recherche d'une page web)

- Vidéos sur le projet ACSexe +: https://bit.ly/3OXI6Mc 

- Pour acheter le guide ACSexe+: https://fqpn.qc.ca/boutique/   

- Blog de la militante Imani Barbarin auquel Laurence fait référence lors de l'entrevue: https://crutchesandspice.com 

- Pour se renseigner sur les femmes autochtones en situation de handicap (en anglais): https://bit.ly/3sf2eQ4

- Un lien pour mieux comprendre la justice reproductive: https://bit.ly/3vIt31d 

- Pour écouter le balado "Au coin du brasier": https://fqpn.qc.ca/nouvelles/au-coin-du-brasier/  

- Pour visiter le site de la FQPN: https://fqpn.qc.ca/ 

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Création et animation: Caroline Lemay 

Son et montage: Guy Lafrance

On prend souvent pour acquis que l'attirance sexuelle est quelque chose de ressentie par toutes les personnes. Toutefois, certaines personnes - les asexuelles - n'en ressentent aucune ou très peu, mais réussissent quand même à vivre une vie de couple et une intimité épanouie. 

Parler d'asexualité nous permet de démystifier une identité sexuelle mal connue du grand public. Elle nous permet aussi de normaliser l'absence d'attirance ou de désirs sexuels, qu'ils soient momentanés ou perpétuels. Enfin, elle nous invite à décentraliser la sexualité dans nos relations intimes et se concentrer sur ses aspects plus relationnels, plus souvent négligés dans notre discours social.

Dans cet épisode, Isabelle Stephens, fondatrice de la Communauté Asexuelle de Montréal, nous aide à mieux comprendre ce qu'est l'asexualité, comment elle est une identité valide et comment elle permet de vivre une vie intime riche et épanouissante.

Si vous souhaitez intégrer la Communauté Asexuelle de Montréal, visitez sa page Facebook: https://www.facebook.com/cadMTL

Pour avoir accès à un forum francophone sur l'asexualité: https://www.asexuality.org/ (le site est en anglais mais il a possibilité d'initier des conversations en français)

Pour de l'information sur l'asexualité en français: https://bit.ly/37TPRSv

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Les thèmes abordés:

- L'émergence du mouvement asexuel;

- Le continuum de l'attirance sexuelle;

- Découvrir son asexualité;

- Comment parler de son asexualité et répondre aux mythes;

- Le consentement et la communication avec un.e partenaire asexuel.le;

- Les types d'attirance autres que sexuelles;

- Quand le sexe "réconciliateur" n'est pas une option;

- L'importance de respecter son asexualité malgré la pression sociale;

- L'asexualité vue par les professionnels de la santé;

- Les catégories pour mieux se définir et parler de soi.

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Création et animation: Caroline Lemay;

Son et montage: Guy Lafrance.

Parler de masculinité est un sujet tout aussi sensible que nécessaire quant vient le temps de parler de prévention des violences sexuelles. Or, quand on en parle, on réfère souvent à sa forme toxique ou traditionnelle, qui est un facteur de risque aux inconduites et aux violences sexuelles. Toutefois, sa forme positive existe bel et bien, mais nous en parlons rarement, sinon jamais, alors qu'elle recèle un important potentiel de prévention de ce type de violences.

Pour nous aider à explorer et mieux comprendre cet univers mal connu, nous discutons avec le Dr Michael Flood, sociologue et Professeur agrégé du Queensland University of Technology de Brisbane, en Australie. Le Dr Flood se spécialise sur les questions liées à la masculinité, l'égalité des genres et la prévention des violences. Lors de cette entrevue, il nous aide à mieux saisir les nuances liées à la masculinité afin d'en développer une compréhension plus juste et mieux éclairée. Il nous propose également des pistes d'actions concrètes pour encourager les hommes à s'engager dans la prévention des violences sexuelles. 

Pour avoir accès aux écrits du Dr Flood sur la masculinité et comment les hommes peuvent contribuer à la prévention de la violence, vous pouvez consulter son site web 👉 ici 👈

L'entrevue originale s'est tenue en anglais. Cet épisode en est la traduction en français.

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Les thèmes abordés:

- La présentation de Dr.Flood et un historique des études masculines (4m25s);

- La manière dont les normes sociales contraignent aussi les hommes et quelques clarifications sur la notion de masculinité toxique (10m17s);

- L'absence de conversation sur l'impact néfaste que les normes sociales liées à la masculinité ont sur ceux qui entourent ceux.celles qui les incarnent et pourquoi cette conversation est difficile (12m37s);

- Comment les hommes peuvent contribuer efficacement à l'élimination des violences sexuelles ou liées au genre et comment contourner les obstacles que posent la conception traditionnelle de la masculinité à cette lutte contre les violences (30m27s);

- L'impact de la pornographie dans la socialisation des hommes (37m22s);

- Reconnaître et s'attaquer aux sources d'influences négatives qui servent de canaux d'éducation aux garçons et aux hommes (45m00s);

- L'importance de parler de sexualité positive, d'érotiser le consentement verbal et une éthique sexuelle de respect et d'avoir des modèles positifs pour incarner les qualités nécessaires pour réaliser cette éthique (58m11s);

- Les défis liés aux stratégies et possibles solutions auxquelles les hommes peuvent participer pour éliminer les violences sexuelles et celles liées au genre et l'importance du féminisme dans la conception de ces mêmes stratégies et solutions (1h11m43s);

- Conseils pratiques pour développer une masculinité positive et contribuer à l'arrêt des violences sexuelles (1h16m52s);

- Conclusion (1h18m34s). 

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Création, animation: Caroline Lemay

Traduction (libre): Caroline Lemay

Son et montage: Guy Lafrance

Nos conventions sexuelles font en sorte de mettre la pénétration au centre de l’interaction sexuelle. Elle devient un incontournable et suffit même, parfois, à définir la sexualité... et la limite considérablement.

En remettant en question sa centralité, une panoplie de réactions et de questions se manifestent et se posent. Bien qu’elles puissent créer des inconforts, elles invitent à une réflexion qui nous permettra de poser un regard critique sur les conventions sociales, valider ses malaises, mettre en lumière ses aveuglements, etc… et ainsi, nous amener à réfléchir sa sexualité selon ce qui nous plaît réellement, plutôt que ce qui constitue l'habitude.

Pour nous parler d'un sujet encore largement tabou, je reçois Martin Page, auteur du livre “Au-delà de la pénétration”, publié aux éditions le nouvel attila.

Pour en savoir plus sur Martin Page, son livre et ses autres publications, visitez son site web à http://www.martin-page.fr/

Pour visiter le site de sa maison d'édition, Le Monstrograph, c'est ici 👉 www.monstrograph.com 

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Les thèmes abordés:

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Invité: Martin Page, auteur

Création et animation: Caroline Lemay

Son et montage: Guy Lafrance