Il parait que « Les voyages forment la jeunesse », mais qu’est-ce qu’un voyage, est-ce qu’il se définit par sa durée, sa destination, sa distance géographique et culturelle ou encore son exotisme ? Certains voyages sont-ils plus formateurs que d'autres ?

Partir un an à l’étranger suivre une scolarité à l’étranger, à des milliers de kilomètres de sa famille, de tout ses repères habituels, dans une langue que l’on ne connait pas, est-ce ça l'essence du voyage ? Le risque du voyage ? Le risque de se perdre, d'être déboussolée, de ne pas être à sa place. C’est le choix qu’à fait Suzon. Prendre le risque d’une année scolaire à l’étranger à l’âge de 17 ans. Et pas dans n’importe quel pays, alors qu’elle avait fait le choix initial de partir aux Etats-Unis, c’est en Afrique du Sud qu’elle a fini par se retrouver. 

C'est la deuxième partie d'un épisode en 2 partie.

Crédits 

Musique (fond sonore et virgules) : Allegory Instrumental (GLASS) de Nuisance

Intro et outro : DaveJF (musique libre de droit)

Remerciements : PIE (Programme Internationaux d’Echange), merci à Suzon et à ses parents pour leur confiance et gentillesse. 

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Il parait que « Les voyages forment la jeunesse », mais qu’est-ce qu’un voyage, est-ce qu’il se définit par sa durée, sa destination, sa distance géographique et culturelle ou encore son exotisme ? Certains voyages sont-ils plus formateurs que d'autres ?

Partir un an à l’étranger suivre une scolarité à l’étranger, à des milliers de kilomètres de sa famille, de tout ses repères habituels, dans une langue que l’on ne connait pas, est-ce ça l'essence du voyage ? Le risque du voyage ? Le risque de se perdre, d'être déboussolée, de ne pas être à sa place. C’est le choix qu’à fait Suzon. Prendre le risque d’une année scolaire à l’étranger à l’âge de 17 ans. Et pas dans n’importe quel pays, alors qu’elle avait fait le choix initial de partir aux Etats-Unis, c’est en Afrique du Sud qu’elle a fini par se retrouver. 

C'est un épisode en 2 partie. La suite à écouter la semaine prochaine.

Crédits 

Musique (fond sonore et virgules) : Allegory Instrumental (GLASS) de Nuisance

Intro et outro : DaveJF (musique libre de droit)

Remerciements : PIE (Programme Internationaux d’Echange), merci à Suzon et à ses parents pour leur confiance et gentillesse. 

Podcast écrit, réalisé et raconté par Camille Olive. Pour les retours ou questions, écrivez moi sur Instagram @risque_podcast ou par mail [email protected]

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Bienvenue dans la saison 2 de Risqué.

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Intro et outro : DaveJF (musique libre de droit)

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En France, la popularité du stand-up a explosé ces dernières années et des grandes scènes de l’humour ont émergées un peu partout. Aller dans un Comédie Club, c’est se retrouver, en principe, devant un plateau d’humoristes qui se suivent, sans vraiment savoir à l’avance à quoi s’attendre. Ces humoristes n’ont pas beaucoup de temps pour convaincre et le jugement de la salle peut être rude.

Comme d’autres métiers « passions » être humoriste ce n’est pas toujours drôle. Le métier est dur, souvent précaire et la concurrence féroce. C’est en ça, que pour moi c’est risqué.

Alors j’en ai rencontré deux, des humoristes, qui font du standup. Bastien Morisson et Justine Paolini. Pour directement leur demander, si selon eux c’est vraiment risqué de monter sur scène, comment ils voient leur métier, comment ils gèrent le trac et s’ils ont fini par s’habituer au jugement du public. Comme des sportifs de haut niveau, ils s’entrainent, s’habituent, apprenant à dompter leur peur et finalement à faire le plus important : faire rire.

C’était le dernier épisode de la première saison de ce podcast. Mais pas d’inquiétude une deuxième saison arrive. Merci d’être là et à très bientôt ! 

Crédits : 

Musique (fond sonore et virgules) : Adeline Yeo, Lost Castle ; aj, 4

Extraits sketch instagram : @justinepaolini @morissonbastien

Intro et outro : DaveJF (musique libre de droit)

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S’il y avait une liste des métiers les plus à risques, cascadeur doit tenir une place de choix. Prendre des risques au service de l’art, d’un film, d’un spectacle, d’une représentation : s’immoler par le feu, se faire percuter par une voiture, se battre à mains nues ou se tirer dessus, chuter d’un bâtiment, en haut d’escaliers, d’un pont… Se faire mal à la place d’une comédienne ou d’un comédien pour les scènes de cinéma les plus risqués ou réaliser des cascades engagées, pour le spectacle vivant, c’est le métier de Mélissa, cascadeuse, et de Samuel cascadeur. Je les ai rencontré pour qu’il et elle me racontent ce métier, leur perception du risque et leur gestion du danger, de la peur, de l’adrénaline, qui font partie intégrante de leur quotidien.

Si pour la plupart des cascades, la plupart des tournages et des spectacles, tout se passe bien grâce à une préparation minutieuse, le risque reste omniprésent. Car si les scènes sont fabriquées de toute pièce et destinées à la fiction, les cascades, elles, sont bien réelles, et les prises de risques aussi.

Merci pour vos écoutes et partages et à bientôt pour un nouvel épisode.

Crédits : 

Musique (fond sonore et virgules) : Kaleidoplasm

Extraits films d’action : Transporter 3 ; Fast and Furious ; Fast X

Intro et outro : DaveJF (musique libre de droit)

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Tout commence souvent par une idée, peut-être un peu folle, un rêve, puis une rencontre, des rencontres. Puis le rêve devient réalité. Devenir skipper, marin, c’est avant tout l’histoire d’une passion, une passion de la mer, du large, de la liberté. De passion et de rencontres, peut naître des projets hors du commun. Celui, par exemple, de traverser l’Atlantique, en solitaire et sans assistance, sur une embarcation de 6 mètres 50. 

Décriée à ses débuts en raison de la prise de risque énorme induite par la si petite taille des bateaux, la Classe Mini est désormais considérée comme l’école de la course au large et un passage quasi obligatoire pour les futurs grands skippers.

Ce projet c’est en ce moment celui de Thaïs Le Cam, avec ses compères Valentin Noël et Julien Letissier, qui forment le collectif Frérots Sailing. À trois, ils mutualisent leurs efforts et compétences pour la préparation de la Mini Transat 2023. 

Ce projet c’était aussi celui d’Hélène Clouet, participante à la Mini Transat en 2021 avec son bateau de série, Minus. Elle s’est investie à 200% pendant plusieurs années pour transformer son rêve en réalité, en passant outre les nombreux obstacles ou difficultés. 

Toutes les deux, aux destins bien différents, ont eu à un moment le même rêve. Celui de s’engager à corps perdu dans une aventure aussi solitaire que collective, d’un sport aussi exigeant techniquement que mentalement. 

À elles deux, elles illustrent les différents parcours possible pour atteindre un objectif commun, avec ténacité, determination et une énergie à toute épreuve.

Merci pour vos écoutes et partages et à bientôt pour un nouvel épisode.

Crédits : 

Musique (fond sonore et virgules) : Dogmatic par Nuisance ; Erosion par Nuisance ; Blood in the Soil 

Intro et outro : DaveJF (musique libre de droit)

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Située entre l'océan Atlantique et l'océan Pacifique, territoire de près d’un million de km carrés, situé dans la partie méridionale de l'Amérique du Sud et partagé entre une partie chilienne à l'ouest et une partie argentine à l’est, la Patagonie suscite rêves et projets fous.

C’est la terre de feu et ses paysages du bout du monde, ces territoires aussi vastes que variés que Sixtine a voulu explorer d’une manière aussi déroutante qu’engagée. C’est en solitaire, qu’elle a parcouru plus de 700 km à vélo et 18 000 km à moto, pendant 6 mois et demi. Elle a parcouru en vélo une partie des 1200 km de la Carretera Austral, une route mythique traversant le Chili, du nord au sud, et longeant la Cordillère des Andes.

Moi même fascinée par la Patagonie et le voyage en solitaire, j’ai suivi les aventures de Sixtine sur les réseaux sociaux. Et c’est à Bordeaux, à la terrasse d’un café, que j’ai rencontré Sixtine, lumineuse, rêveuse et déterminée, aussi passionnée que passionnante. 

Sixtine est allée réaliser son rêve de Patagonie, jusqu’au bout de ses forces. Voyager seule, d’autant plus par la seule force de ses jambes, pour la première partie de son voyage, c’est engager autant son corps que son esprit, c’est être capable de puiser en soi les ressources nécessaires pour découvrir l’inconnu, affronter les difficultés, s’ouvrir à ce qui nous est étranger.

Merci pour vos écoutes et partages et à bientôt pour un nouvel épisode.

Crédits : 

Musique (fond sonore et virgules) : Jungle par Sneaky Club ; Desert Wind par Master Smith ; Parched par Xylo-Ziko

Intro et outro : DaveJF (musique libre de droit)

Citations : Patagonie dernier refuge, C. Garcin ; E. Faye

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Comme beaucoup d’autres ivoiriens, un jour, Lacina, qui était installé comme vendeur de vêtements à Abidjan, a été contraint, du jour au lendemain, de quitter son pays pour protéger sa vie. Alors qu’il n’avait jamais envisagé rejoindre l’Europe, c’est, menacé de mort, qu’il a du partir au plus vite, laissant derrière lui, son magasin, sa famille, son quotidien. 

Quitter son pays n’était que le début d’un voyage de tous les risques, tous les dangers, toutes les souffrances. De la traversée du désert, à la violence des hommes dans certains pays, à la traversée de la Méditerranée dans une embarcation gonflable surchargée, à la traversée de la frontière franco-italienne, à pied, en plein hiver. Un voyage dans lequel Lacina a vu la mort de près, plusieurs fois et de diverses manières. Puis en France il a ensuite du faire face aux très lourdes difficultés administratives, la peur inhérente à la vie sans papiers, sans pouvoir de travailler et avec la peur de se faire arrêter ; en somme, à l'impossibilité d’être libre. Aujourd’hui, il vit dans les Hautes-Alpes, en famille, avec sa femme Nathalie, et travaille dans le social, comme moniteur éducateur dans un foyer d’accueil spécialisé.

Cet épisode est le premier d'une série de trois épisodes sur les thème de l’exil, du voyage, de la solitude et la fuite pour la vie ou pour la liberté. On interroge l’éloignement et la déroute, l’inquiétude et l’errance, et l’exploration autant de soi que des autres et du monde.

Merci pour vos écoutes et partages et à bientôt pour un nouvel épisode.

Crédits :

Musique : Spleen & Sénégal par Le Chaos Entre 2 Chaises ; Ambition and Sacrifice par Kirk Osamayo

Intro et outro : DaveJF (musique libre de droit)

Citations : La criminalité juvénile : les enfants « microbes » comme symptôme des difficultés de la protection de l’enfance en Côte d’Ivoire, Julie Baudryard épse Ohoupe in Sociologies pratiques (2018) ;

Hospitalité !, Patrick Chamoiseau in Refusons l'inhumain ! Les écrivains aux côtés des migrants (2022).

Le projet de Nathalie et Lacina : https://www.cie-liquidation-totale.com/

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Tarascon est une commune d’environ 15 000 habitants située dans le département des Bouches-du-Rhône dans le sud de la France. C’est dans ce climat méditerranéen que se situe le monastère de la Visitation. 

19 soeurs y vivent cloitrées, en communauté, dans une vie où elles ont fait voeux de pauvreté, chasteté et obéissance. 

Le risque n’est pas toujours là où il est le plus évident. Il réside parfois dans les choix, les choix de vie radicaux. Comme faire le choix de renoncer à une forme de liberté physique pour s’engager à corps perdu dans la recherche d’une liberté spirituelle, intérieure. 

Est-ce vraiment risqué de rentrer au monastère ? Pourquoi prendre le risque de s’engager à mener une vie recluse et de s’éloigner de ses proches ? Comment parvenir à vivre en communauté en se mettant de côté, soi, dans une vie à la fois loin du monde mais en y étant aussi profondément connecté.

Je me suis rendue quelques jours à Tarascon et deux soeurs ont accepté de me raconter un morceau de leur histoire.

Crédits : chants, Soeurs de la Visitation // générique, DaveJF (musique libre de droit) 

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Sniffer, taper, toucher, camer, doper, shooter, bédaver, gober, la langue française ou du moins sa forme la plus argotique ne manque pas de synonymes pour décrire le fait, ou l’acte, de consommer une substance psychotrope. La fête est en elle même transgressive, transgresser la légalité pour le frisson de la désinhibition et de la déconnection. Elle est l’occasion de faire un pas de côté des normes sociales ou autres habitudes et conventions.

Consommer, c’est un risque. Un risque de perdre ses repères, de perdre pieds, d’aller trop loin. Mais c’est aussi le dangereux plaisir de l’interdit, l’excitation grisante des nouvelles sensations et la recherche ultime de l’intensité d’être. 

Dans cet épisode, c’est l’histoire de Coco et de son rapport à la fête.

Merci pour vos écoutes et partages, joyeuses fêtes de fin d’année et on se retrouve en 2023 pour un nouvel épisode.

Cet épisode évoque les thèmes de la consommation de drogue, assurez vous de l’écouter dans de bonnes conditions et de ne pas le laisser tourner près d’oreilles trop sensibles.

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Crédits : 

Musique : Simon Mathewson (musique libre de droit) Dodge, Late ; Kaleidoplasm.

Intro et outro : DaveJF (musique libre de droit)

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