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Cette saison du balado ne serait possible sans l’appui de nos partenaires : la Chaire de recherche du Canada sur la gouvernance sécuritaire des corps, la mobilité et les frontières (CRC-GSCMF) et le Centre de recherche interdisciplinaire sur la diversité et la démocratie (CRIDAQ). Nous remercions également le Conseil de recherche en sciences humains du Canada, l'Institut d'études internationales de Montréal (IEIM), la Faculté de droit et de l’Université de Sherbrooke et l’AGECSDUS.
Épisode enregistré en anglais.
Cet épisode explore le rôle des technologies dans la construction contemporaine de l’(ir)régularité migratoire, en mettant en lumière les outils – visibles et invisibles – qui participent au contrôle, à la surveillance et à la dissuasion des mobilités humaines.
Sergio Prieto Diaz, chercheur transdisciplinaire, propose une lecture novatrice du phénomène migratoire à partir des concepts d’immobilité, de vorticité et de mobilité frontalière. Il démontre comment les dispositifs technologiques, loin de se limiter à un rôle logistique, façonnent profondément les conditions d’existence des personnes migrantes, souvent réduites à des objets de gestion.
L’épisode met en évidence la manière dont ces technologies sont intégrées dans les régimes juridiques pour créer de nouvelles formes d’(ir)régularisation, tout en naturalisant des logiques d’exception, de tri et de suspicion.
L’échange interroge aussi les implications éthiques, politiques et épistémologiques de ces dispositifs : qui les conçoit ? Qui les légitime ? Qui en subit les conséquences ? Enfin, l’épisode ouvre des pistes de réflexion sur les formes de résistance et de réappropriation des mobilités par les personnes migrantes.
By LRCD - Université de SherbrookeCette saison du balado ne serait possible sans l’appui de nos partenaires : la Chaire de recherche du Canada sur la gouvernance sécuritaire des corps, la mobilité et les frontières (CRC-GSCMF) et le Centre de recherche interdisciplinaire sur la diversité et la démocratie (CRIDAQ). Nous remercions également le Conseil de recherche en sciences humains du Canada, l'Institut d'études internationales de Montréal (IEIM), la Faculté de droit et de l’Université de Sherbrooke et l’AGECSDUS.
Épisode enregistré en anglais.
Cet épisode explore le rôle des technologies dans la construction contemporaine de l’(ir)régularité migratoire, en mettant en lumière les outils – visibles et invisibles – qui participent au contrôle, à la surveillance et à la dissuasion des mobilités humaines.
Sergio Prieto Diaz, chercheur transdisciplinaire, propose une lecture novatrice du phénomène migratoire à partir des concepts d’immobilité, de vorticité et de mobilité frontalière. Il démontre comment les dispositifs technologiques, loin de se limiter à un rôle logistique, façonnent profondément les conditions d’existence des personnes migrantes, souvent réduites à des objets de gestion.
L’épisode met en évidence la manière dont ces technologies sont intégrées dans les régimes juridiques pour créer de nouvelles formes d’(ir)régularisation, tout en naturalisant des logiques d’exception, de tri et de suspicion.
L’échange interroge aussi les implications éthiques, politiques et épistémologiques de ces dispositifs : qui les conçoit ? Qui les légitime ? Qui en subit les conséquences ? Enfin, l’épisode ouvre des pistes de réflexion sur les formes de résistance et de réappropriation des mobilités par les personnes migrantes.