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Cette saison du balado ne serait possible sans l’appui de nos partenaires : la Chaire de recherche du Canada sur la gouvernance sécuritaire des corps, la mobilité et les frontières (CRC-GSCMF) et le Centre de recherche interdisciplinaire sur la diversité et la démocratie (CRIDAQ). Nous remercions également le Conseil de recherche en sciences humains du Canada, l'Institut d'études internationales de Montréal (IEIM), la Faculté de droit et de l’Université de Sherbrooke et l’AGECSDUS.
Cette saison du balado ne serait possible sans l’appui de nos partenaires : la Chaire de recherche du Canada sur la gouvernance sécuritaire des corps, la mobilité et les frontières (CRC-GSCMF) et le Centre de recherche interdisciplinaire sur la diversité et la démocratie (CRIDAQ). Nous remercions également le Conseil de recherche en sciences humains du Canada, l'Institut d'études internationales de Montréal (IEIM), la Faculté de droit et de l’Université de Sherbrooke et l’AGECSDUS.
Cet épisode examine le rôle du droit dans l’institutionnalisation de la surveillance migratoire, en mettant en lumière les logiques juridiques, politiques et technologiques qui structurent aujourd’hui les frontières extérieures de l’Union européenne.
Mona Aviat, doctorante en droit international à l’Université libre de Bruxelles, développe une analyse critique de l’usage croissant des technologies de contrôle aux frontières et de leur ancrage dans des héritages coloniaux européens. Elle interroge la manière dont le droit participe à rendre ces dispositifs à la fois légitimes, invisibles et hautement efficaces.
L’épisode aborde notamment le rôle central des entreprises privées, la logique d’externalisation de la souveraineté, et les conséquences concrètes sur les libertés et les droits fondamentaux des personnes migrantes. Il évoque aussi les effets d’impunité structurelle et l’opacité volontaire du système, qui rendent difficile toute remise en cause juridique.
Enfin, la discussion ouvre sur des formes de résistance possibles : contre-discours, mobilisations collectives, et stratégies critiques pour réinscrire la responsabilité, la transparence et la justice au cœur du droit des migrations.
By LRCD - Université de SherbrookeCette saison du balado ne serait possible sans l’appui de nos partenaires : la Chaire de recherche du Canada sur la gouvernance sécuritaire des corps, la mobilité et les frontières (CRC-GSCMF) et le Centre de recherche interdisciplinaire sur la diversité et la démocratie (CRIDAQ). Nous remercions également le Conseil de recherche en sciences humains du Canada, l'Institut d'études internationales de Montréal (IEIM), la Faculté de droit et de l’Université de Sherbrooke et l’AGECSDUS.
Cette saison du balado ne serait possible sans l’appui de nos partenaires : la Chaire de recherche du Canada sur la gouvernance sécuritaire des corps, la mobilité et les frontières (CRC-GSCMF) et le Centre de recherche interdisciplinaire sur la diversité et la démocratie (CRIDAQ). Nous remercions également le Conseil de recherche en sciences humains du Canada, l'Institut d'études internationales de Montréal (IEIM), la Faculté de droit et de l’Université de Sherbrooke et l’AGECSDUS.
Cet épisode examine le rôle du droit dans l’institutionnalisation de la surveillance migratoire, en mettant en lumière les logiques juridiques, politiques et technologiques qui structurent aujourd’hui les frontières extérieures de l’Union européenne.
Mona Aviat, doctorante en droit international à l’Université libre de Bruxelles, développe une analyse critique de l’usage croissant des technologies de contrôle aux frontières et de leur ancrage dans des héritages coloniaux européens. Elle interroge la manière dont le droit participe à rendre ces dispositifs à la fois légitimes, invisibles et hautement efficaces.
L’épisode aborde notamment le rôle central des entreprises privées, la logique d’externalisation de la souveraineté, et les conséquences concrètes sur les libertés et les droits fondamentaux des personnes migrantes. Il évoque aussi les effets d’impunité structurelle et l’opacité volontaire du système, qui rendent difficile toute remise en cause juridique.
Enfin, la discussion ouvre sur des formes de résistance possibles : contre-discours, mobilisations collectives, et stratégies critiques pour réinscrire la responsabilité, la transparence et la justice au cœur du droit des migrations.