Je partage les propos de cette dame car ils sont justes et comportent des précisions importantes pour se “caler” sur le bon chemin en ces temps de transition.

J’ai tiqué lorsqu’elle a dit : “Il n’y a pas de bien, il n’y a pas de mal”, car c’est “un mot d’ordre” que l’on entend partout et qui m’a paru relever d’un “relativisme” dommageable. Mais elle complète ce propos correctement pour le rendre plus “juste”. Donc, même là elle emplit son office auprès du public qui comprend mieux ainsi.

Elle fait partie des nombreux “journalistes citoyens” qui ont su prendre leur place à la faveur de cette crise pour “accompagner” comme je le fais. Mais j’ai eu à déplorer que des étudiants en astrologie, tout en parlant de “colibri” aient été incapables de partager les articles de mon blog que j’ai ouvert dès 2020 pour guider et accompagner.

Cela pourquoi ? Sans doute par crainte de voir leur image “abîmée” en passant pour des complotistes puisque dès 2020, j’étais très claire sur le danger des vaccins ! La suite des événements nous a donné raison puisque j’ai vu passer dernièrement une vidéo de LCI où M. Pujadas le dit maintenant ouvertement : mais après tant de victimes et de morts que j’aurais voulu éviter au maximum.

Vais-je claironner : j’avais raison ? Ou bien déplorer que vous ne m’ayez pas fait assez confiance alors qu’il le fallait ? Continuant de cautionner en cela, le mensonge médiatique ? Comme je le dis : ça fait bientôt 63 ans que j’ai raison dans un monde de fous, donc une fois de plus ne fait pas grande différence. Je n’en suis plus là.

J’ai déploré le comportement de ces “mauvais étudiants” car, être “altruiste” est une condition sine qua non pour être un véritable astrologue, cette discipline enseignant que nous sommes : un microcosme au sein du macrocosme et remettant donc l’individu au centre d’un ordre cosmique lui permettant de comprendre : qu’il dépend de la marche collective, il n’en est pas indépendant ! Comme l’égoïsme commun de notre époque tend à le faire croire aux gens sans chemin évolutif.

Charité bien ordonnée commence par soi-même, il convient donc tout d’abord de “mettre de l’ordre” (cosmos voulant dire “ordre” en grec) en soi-même avant que de prétendre aider d’autres à le faire. C’est pourquoi je rappelle au fronton de mon école “qu’aider : ça s’apprend”.

Beaucoup de gens en notre pays dit “chrétien” ont la motivation d’aider, mais ils s’avèrent parfois plus toxiques que vraiment “aidants” car : ils ne sont pas “centrés” et projètent leurs propres problèmes sur autrui. Ou bien se “chargent” à l’excès des problèmes d’autrui au point de se nuire à eux-mêmes ! (esprit de sacrifice ancrant dans le rôle “du sauveur” ce qui est très egotique en réalité ). Or, comme disait le Christ : chacun doit porter SA croix.

Lorsqu’on sait que chacun a son propre karma, ça aide à ne pas “surcharger la mule” comme j’aime à dire. Ca, c’est la culpabilisation catholique qui le fait. Pas le “christianisme ésotérique”.

Mais j’ajouterai mes propres vues aux propos de cette dame :

1/ La seule façon de “lutter contre le mal”, ce n’est pas de s’y opposer, mais de le “surmonter” après l’avoir bien identifié et ça s’appelle : la RÉSILIENCE. Nier l’existence du mal, par contre, conduit : “au déni” et ça n’est pas mieux. C’est ce que fait le new age qui vous demande d’être “heureux” mais ce faisant : à vous voiler la face sur les noirceurs de ce monde qu’il convient au contraire d’observer avec lucidité.

2/ “Le mal” fascine, le bien “éclaire”… C’est une façon de bien distinguer les 2 pour sortir d’une fascination naturelle, mais toxique et la télévision en use et en abuse.

3/ Toute relation humaine est effectivement porteuse des leçons de l’existence, aucune n’est à négliger par conséquent “à l’école de la vie”.

4/ Il ne faut pas devenir “gris” en acceptant trop de ténèbres en soi et cela nous oblige, à notre niveau à : séparer le bon grain de l’ivraie. Au niveau relationnel (ne pas se faire complice des pires), mais aussi dans nos pensées car ces pensées sont effectivement “créatrices”.

C’est pourquoi j’ai toujours parlé du christianisme comme d’une “hygiène mentale” qui apprend à prendre soin de nos pensées. Il ne s’agit pas tant de bannir “les mauvaises” que de les remplacer par de bonnes, plus “compréhensives” car dans le coeur.

Ceci correspond à la parole du Christ disant : “Ce n’est pas ce qui entre dans votre bouche qui peut vous faire du mal, mais ce qui en sort !” (sous entendu : nos erreurs de jugement)

J’ai dernièrement fait peur à un monsieur athée simplement en disant : “Nous sommes les yeux de Dieu, il a besoin de notre collaboration consciente”. Cela parce qu’il me disait : A quoi bon opérer “des prises de conscience” puisque nous sommes de toute façon impuissants ?

Et c’est bien contre cette “impuissance acquise” comme disent certains qu’il convient de lutter car : rien n’est plus faux ! Vos pensées et vos peurs sont puissantes et elles influent non seulement sur votre devenir, mais sur le devenir collectif aussi. Devenez-en conscient, vous faites partie “du monde”. Et comme disent certains, si vous ne le comprenez pas : c’est vous le problème !

C’est à reconquérir cette puissance que mène le chemin de l’individuation et de l’auto-réalisation, mais ça : c’est en s’inscrivant à mon école qu’on le découvre.

Mais commencer à comprendre ce que dit cette dame : chacun peut le faire et suivre son exemple, sans prétention autre que d’être utile à son prochain car elle ne fait que donner le bon exemple

Certains ne se réveillent que maintenant, pour certains, comme moi, ça fait longtemps qu’on a ouvert une “voie alternative” à la doxa actuelle. Suivez le guide…

Et on vous attend !

Laurence Larzul - le 26 avril 2025

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