Pour en finir avec l'inceste, il faut briser le tabou du silence. Cette Mahoraise a fait le buzz quand elle a publié son histoire sur les réseaux. Malgré la haine, la pression familiale, elle a tenu bon avec dignité et courage. Beaucoup la remercient aujourd'hui. Pour la libération de la parole, elle a fondé l'association "Souboutou Ouhédzé Jilaho" : ose élever ta voix en shimaoré.