Les recherches de Matthieu Tardif, étudiant de troisième année au doctorat, explorent les dynamiques socio-économiques liées au commerce des fourrures français en Amérique du Nord du XVIIe au XVIIIe siècle. Il propose un réexamen du commerce des fourrures fondé sur une analyse matérialiste des rapports de production qu’il instaure et des effets de ces derniers sur les populations concernées.