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Découvrez cette série de podcast pour une plongée aux confins de l'esprit de criminels japonais, qui semblent avoir été effacés par peur des rumeurs qui les entourent.
Fukiage Satarô est né en février 1889 dans le quartier de Shimogyô-ku, dans la ville de Kyoto. Son père était artisan constructeur de métiers à tisser et fournissait les filatures de la ville. Il était donc d’origine très modeste. La nourriture était rare et chère, alors les enfants devaient se contenter de riz brun et de soupe de « restes de marché ». Fukiage écrit plus tard qu’il lui arrivait régulièrement de ne pas pouvoir dormir tant la faim lui tordait le ventre. Il écrit aussi : « Les pauvres oublient la faim grâce au sexe ». Un adage qu’il mit en pratique très tôt, mû dès l’enfance par une curiosité prononcée sur ce sujet...
Découvrez cette série de podcast pour une plongée aux confins de l'esprit de criminels japonais, qui semblent avoir été effacés par peur des rumeurs qui les entourent.
Fukiage Satarô est né en février 1889 dans le quartier de Shimogyô-ku, dans la ville de Kyoto. Son père était artisan constructeur de métiers à tisser et fournissait les filatures de la ville. Il était donc d’origine très modeste. La nourriture était rare et chère, alors les enfants devaient se contenter de riz brun et de soupe de « restes de marché ». Fukiage écrit plus tard qu’il lui arrivait régulièrement de ne pas pouvoir dormir tant la faim lui tordait le ventre. Il écrit aussi : « Les pauvres oublient la faim grâce au sexe ». Un adage qu’il mit en pratique très tôt, mû dès l’enfance par une curiosité prononcée sur ce sujet...
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