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Or


Georges VIVIER, de Jarrie, avait énormément souffert dans l’horrible camp de concentration de Dora. 50 ans après, il eut l’occasion de se rendre à nouveau dans ce camp et a constaté que les allemands ne l’ont pas détruit. Au contraire ils ont voulu le conserver pour garder la mémoire de ce que des hommes sont capables de faire et qu’une telle horreur ne se reproduise plus.
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By Claude Muller,Annie FrancouGeorges VIVIER, de Jarrie, avait énormément souffert dans l’horrible camp de concentration de Dora. 50 ans après, il eut l’occasion de se rendre à nouveau dans ce camp et a constaté que les allemands ne l’ont pas détruit. Au contraire ils ont voulu le conserver pour garder la mémoire de ce que des hommes sont capables de faire et qu’une telle horreur ne se reproduise plus.
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