L’opposition et le pouvoir ont signé le 31 décembre 2016 un compromis pour la gestion du pays. Trouvé sous l’égide de l’Église catholique, cet accord est censé apporter un répit à la crise. Mais ce n'est le cas. Aujourd'hui, tout oppose les Congolais. A commencer par une troisième candidature du président Joseph Kabila et la machine à voter. L'option choisie par la Commission électorale.