Gifles, fessés, étranglements, suçons… Ces gestes peuvent faire monter crescendo l’excitation et l’intensité d’un rapport sexuel, tant qu’ils sont pratiqués avec consentement et communication. Est-ce un besoin de nouveauté, de domination ou simplement une envie de lâcher prise ? Vous-êtes plûtot wild sex ou sexe doux ? Naya, accompagnée de Rosa, Léa et Laetitia nous révèlent leurs préférences dans ce nouvel épisode bouillant de Hot Line.  

Naya : Twitter @misundergirl Instagram @misundergirl  

Rosa: Twitter @burszteinrosa Instagram @rosabursztein 

Léa : Instagram @mercibeaucul_

Laetitia: Twitter @Loun_R Instagram @loun_r

Manon, du compte Instagram @lecul_nu est également mentionnée dans cet épisode par Léa. Retrouvez ici son nouveau livre “Le cul mis à nu” (Hachette) en pré-commande.  

Les références entendues dans l’épisode : 

Le consentement avant tout ! Il faut toujours demander l’autorisation pour certaines pratiques, qui s’avèrent être dangereuses si elles sont mal pratiquées (comme l’étranglement, les suçons, les gifles etc). 

En 2019, Menelaos Apostolou et Michalis Khalil publiaient les résultats de leurs recherches menées en ligne auprès de 1 026 hommes et femmes. Les deux chercheurs de l’Université de Nicosie à Chypre ont établi que plus de 70 % des participant.e.s ont trouvé désirable un des 13 jeux sexuels agressifs ou humiliants qui leur étaient proposés. Ils étaient encore nombreux – 50 % – à juger trois de ces actes comme excitants.

Selon un sondage IPSOS, réalisé pour le numéro de mai de Psychologies Magazine, paru en 2014 : seulement un tiers des femmes apprécie d’être dominé pendant l’amour (33%). Une grande majorité des femmes apprécie tout autant être sous leur partenaire (76%) que sur lui (68%). Mais en ce qui concerne les 18-24 ans, c'est une majorité: 70%. La différence générationnelle est clairement visible ici. Les femmes entre 18 et 24 ans apprécient des jeux de domination, quel que soit celui qui soit en position "de force". 

22% des jeunes hommes & femmes (18-24 ans) demandent plus de "sauvagerie". 

Le Womanizer est un sextoy qui stimule le clitoris avec des aspirations. Le clitoris n’est donc pas stimulé par un contact avec une surface qui vibre, comme les autres sextoys.

Le Satisfyer est un sextoy qui stimule non seulement le clitoris par des vibrations mais aussi par un procédé sans contact qui se fait à l'aide de pressions appelées aspirations.

Le revenge porn, où une personne rend publique des photos ou vidéos d’une autre personne nue ou lors d’un rapport sexuel sans son consentement, est régie par l’article 226-2-1 du Code pénal comme suit : “Lorsque les délits prévus aux articles 226-1 et 226-2 portent sur des paroles ou des images présentant un caractère sexuel prises dans un lieu public ou privé, les peines sont portées à deux ans d’emprisonnement et à 60 000 € d’amende”. De plus, la loi punit l’infraction de revenge porn indépendamment du point de savoir si la personne a donné son consentement à l’enregistrement initial de la vidéo ou des images. Le seul fait que la diffusion, notamment sur le réseau Internet, ait lieu sans le consentement de la personne suffit. (Source : www.e-enfance.org/que-dit-la-loi-le-revenge-porn-2/) 

Retrouvez ici les ouvrages de l’autrice et psychothérapeute Esther Perel. 

Hot Line est un podcast Original Spotify, produit par Spotify en association avec Nouvelles Écoutes.

Animé par moi-même, Naya Ali, et en compagnie aujourd’hui de Rosa, Léa et Laetitia. 

Merci à Gina, Emma, Bertine, et à la personne Anonyme, de nous avoir laissé leurs messages vocaux.

Notre numéro c’est le 07 88 05 64 84. Laissez-nous vos messages !

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