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Préparez vos casques et vos nerfs : cet épisode s’annonce électrique et bourré d’humour ! Nous plongeons dans l’univers halluciné de Strange Days (1995), le techno-thriller de Kathryn Bigelow qui imagine un Los Angeles en pleine effervescence à la veille de l’an 2000. Dans ce futur déjà passé, les souvenirs se vendent comme des fichiers pirates et les émotions s’injectent directement dans le cerveau grâce au SQUID, un appareil illégal capable d’enregistrer et de rejouer chaque sensation. Ralph Fiennes campe Lenny Nero, ancien flic reconverti en dealer de sensations fortes, qui se retrouve pris dans un complot explosif mêlant sexe, violence et politique. Angela Bassett, dans un rôle physique et puissant, l’entraîne dans une course contre la montre où réalité et illusion se confondent.
Dans cet épisode, nous revenons sur la mise en scène nerveuse de Bigelow, sur le scénario écrit par James Cameron et sur ce qu’il dit de notre rapport à la technologie, à la mémoire et au voyeurisme. Mais pas question de sombrer dans un discours académique : notre analyse est arrosée d’humour à chaque étape. Nous nous moquons des coiffures typiques des années 90, des looks cuir-vinyle dignes d’un clip de rock industriel et des répliques parfois plus grosses que les câbles du SQUID. L’humour sert ici de détonateur pour désamorcer la noirceur du propos, pointer les excès du cyberpunk hollywoodien et rappeler que même les films visionnaires peuvent être un peu kitsch quand on les revoit près de trente ans plus tard.
Nous décortiquons les scènes d’action tournées en caméra subjective, les séquences de fête de fin de millénaire et l’étrange mélange entre polar, romance et anticipation. On s’amuse de la manière dont le film prédit les réseaux sociaux, la surveillance permanente et l’addiction aux images choc, tout en soulignant les incohérences délicieusement 90’s qui prêtent à sourire. Notre critique alterne moments de réflexion sur la peur du futur et éclats de rires face aux gadgets improbables, prouvant qu’un bon podcast peut mêler analyse et humour sans perdre le fil.
Alors, si vous aimez les films qui font réfléchir tout en offrant un terrain parfait pour la moquerie, installez-vous confortablement et branchez-vous sur cet épisode. Entre visions apocalyptiques, complots policiers et souvenirs sous casque, Strange Days nous donne matière à rire, à débattre et à célébrer le cinéma qui ose tout, même le ridicule.
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Si cet épisode vous a plu, abonnez-vous à notre podcast pour ne rien manquer, laissez-nous une note ou un commentaire plein d’humour, et partagez-le avec vos amis cinéphiles. Chaque écoute, chaque avis et chaque partage nous aide à continuer à explorer les grands classiques (et les petits dérapages) du septième art !
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
By Johnny PodcastPréparez vos casques et vos nerfs : cet épisode s’annonce électrique et bourré d’humour ! Nous plongeons dans l’univers halluciné de Strange Days (1995), le techno-thriller de Kathryn Bigelow qui imagine un Los Angeles en pleine effervescence à la veille de l’an 2000. Dans ce futur déjà passé, les souvenirs se vendent comme des fichiers pirates et les émotions s’injectent directement dans le cerveau grâce au SQUID, un appareil illégal capable d’enregistrer et de rejouer chaque sensation. Ralph Fiennes campe Lenny Nero, ancien flic reconverti en dealer de sensations fortes, qui se retrouve pris dans un complot explosif mêlant sexe, violence et politique. Angela Bassett, dans un rôle physique et puissant, l’entraîne dans une course contre la montre où réalité et illusion se confondent.
Dans cet épisode, nous revenons sur la mise en scène nerveuse de Bigelow, sur le scénario écrit par James Cameron et sur ce qu’il dit de notre rapport à la technologie, à la mémoire et au voyeurisme. Mais pas question de sombrer dans un discours académique : notre analyse est arrosée d’humour à chaque étape. Nous nous moquons des coiffures typiques des années 90, des looks cuir-vinyle dignes d’un clip de rock industriel et des répliques parfois plus grosses que les câbles du SQUID. L’humour sert ici de détonateur pour désamorcer la noirceur du propos, pointer les excès du cyberpunk hollywoodien et rappeler que même les films visionnaires peuvent être un peu kitsch quand on les revoit près de trente ans plus tard.
Nous décortiquons les scènes d’action tournées en caméra subjective, les séquences de fête de fin de millénaire et l’étrange mélange entre polar, romance et anticipation. On s’amuse de la manière dont le film prédit les réseaux sociaux, la surveillance permanente et l’addiction aux images choc, tout en soulignant les incohérences délicieusement 90’s qui prêtent à sourire. Notre critique alterne moments de réflexion sur la peur du futur et éclats de rires face aux gadgets improbables, prouvant qu’un bon podcast peut mêler analyse et humour sans perdre le fil.
Alors, si vous aimez les films qui font réfléchir tout en offrant un terrain parfait pour la moquerie, installez-vous confortablement et branchez-vous sur cet épisode. Entre visions apocalyptiques, complots policiers et souvenirs sous casque, Strange Days nous donne matière à rire, à débattre et à célébrer le cinéma qui ose tout, même le ridicule.
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Si cet épisode vous a plu, abonnez-vous à notre podcast pour ne rien manquer, laissez-nous une note ou un commentaire plein d’humour, et partagez-le avec vos amis cinéphiles. Chaque écoute, chaque avis et chaque partage nous aide à continuer à explorer les grands classiques (et les petits dérapages) du septième art !
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