La mort d’un proche engendre toujours une douleur vive surtout quand elle survient de manière brutale pouvant provoquer un traumatisme. S’ enclenche un processus psychique qui doit permettre d’aboutir à l’acceptation de la disparition du défunt… Le peut-on réellement ? Peut-on échapper aux impacts à long terme qui vont influer non seulement sur la personnalité et sa construction quand elle intervient durant le jeune âge mais sur l’avenir même de la personne qui aura vécu cette expérience. Avec nous Catherine Berndt, éducatrice spécialisée qui, à partir d’une expérience personnelle a écrit un essai « Si j’avais su je n’aurais rien pu faire » et tiré une philosophie de vie.

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