Faire un podcast intime sur l'argent, ça permet de dévoiler nos usages et nos fantasmes sur cet objet si tabou. Mais ça peut aussi avoir un effet imprévu un peu pervers... Renforcer par exemple une tendance déjà très forte à l'individuation, à la valorisation personnelle par l'argent. Bah oui, chacun y parle de sa thune, ses réussites, ses frustrations, ses angoisses, son héritage, sa famille. À la fin, le risque c'est que ce soit un peu chacun pour soi, non? Julien, lui, ça fait longtemps qu'il pense "collectif". À tel point qu'il a même créé... je sais pas comment appeler ça...une sorte de "communauté artistique ouverte au public" ? Bon, le mieux c'est encore d'écouter l'épisode pour comprendre. Mais ce que je peux vous dire, en tout cas, c'est que les néo hippies de 2025 n'ont vraiment rien à voir avec ceux des années 70, et que pour réaliser leurs rêves de partage, de solidarité, de culture et de beauté, hors des circuits du profit et de la spéculation, ils sont tenus d'être très carrés, voire carrément pointus, sur les finances et sur la thune. Et j'en reviens à me demander : le fait que ce soit si compliqué et si cher de faire des choses avec générosité, qu'est-ce que ça dit de notre société? Bonne écoute !

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Voici la suite de notre petite escapade dispendieuse dans l'ultra centre de New York.

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Il y a plein d’expressions pour décrire New York : “Big Apple”, “La capitale du monde”, “La ville qui ne dort jamais”.

Cécile Méguère, s’y est installée il y a deux ans et demi, et l’expression qu’elle emploie le plus souvent, c’est “In New York, only the strong survive”. Oui, parce que New York est impitoyable, terriblement chère et y vivre, ce n’est pas donné à tout le monde.

Notre invitée du jour, in love, mais pas dupe sur sa ville d’adoption, nous dévoile son installation, les coûts réels et les coûts cachés de la vie sur place et nous raconte surtout comment cette mégalopole, si différente du reste des Etats-Unis, oblige ses habitants à embrasser son lifestyle, sous peine de se faire recracher aussi sec.

Cet épisode beaucoup trop palpitant a une suite. A très vite dans l'épisode 2.

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Vous êtes un certain nombre à nous faire savoir qu'en cette période particulière les impôts vous angoissent... Peut-être que vous aviez raté l'épisode exceptionnel que nous avons déjà publié sur ce sujet brûlant, alors le revoici ! Il ne remplira pas votre décla à votre place, mais il apaise quand même pas mal, et il donne de nombreux tips exclusifs.

De rien ! ;^)

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Voici le 2eme épisode consacré à Jérémy. Après un incroyable parcours de transfuge de classe, après les longues études, Science po, une belle carrière de cadre, il y a un an, il a explosé sous la pression et a pris la fuite ! Il a tout plaqué pour un débouché étonnant : plombier. Alors, est-ce que l'argent coule à flot ? Eh bien, vous allez l'entendre, c'est pas encore très clair, mais c'est bien parti. Et est-ce que votre plombier vous arnaque ? La réponse est aussi dans les tuyaux. Bonne écoute ! 

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En voilà un qui n'est pas prêt d'être remplacé par une IA ! Ca y est, c'est décidé, cette année, Jérémy est devenu plombier. Objectif thune ? Tout à fait, et c'est assumé. Au fond, c'est ce qu'a toujours voulu ce garçon très bosseur, issu d'une famille très modeste. Mais avant ce virage à 180 degrés, il emprunté des chemins plus classiques, et des filières d'excellence. Son histoire est géniale parce que c'est celle de notre époque : elle raconte une ascension sociale grippée, la dévalorisation des diplômes, l'importance du "réseau" et le monde étonnant des bullshits jobs, ces boulots ou l'on se sent...inutile. Et elle nous pose cette question : comment choisir sa voie, aujourd'hui, quand on a la pression - financière - et quand on a que son travail à monnayer ? Bonne écoute ! 

2eme épisode demain ;^) !

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J’ai découvert Pepita sur Instagram. Elle vend des sacs et des bijoux de luxe en seconde main. Hermès, Dior, Chanel… pas vraiment mon truc, à la base. Et pourtant, je savoure chacune de ses publications.

Pourquoi ? Parce qu’elle vend comme personne. Elle se met en scène avec un accent de grande bourgeoise un peu cagole, et à chaque fois, c’est un show. Elle est brillante, drôle, piquante, délicieusement détestable — juste ce qu’il faut. Avec elle, j’ai trouvé la vendeuse étalon, celle qui déclenche le désir sans même qu’on s’en rende compte.

Derrière cette apparente superficialité, Pepita a pourtant eu un rapport compliqué et angoissé avec l'argent. Jusqu'à ce qu'elle se mette à en gagner.

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