Tu vas m'niquer la batterie !

Hugo TSR, je l'ai découvert trop tard, à une période où je pensais connement que le rap à l'ancienne passait à la trappe au sein de la production Rap française. Quel con, parce que si j'avais écouté Simon je ne serais pas resté sur ma faim pendant tout ce temps.

Parce que oui, Fenêtre sur rue est un banger du début à la fin. Et je n'en démordrai pas. Jamais. Parce que se prendre un album de boom bap de cette qualité en 2012 j'aurais pas cur ça possible. Du coup, on va se plonger dans l'univers sur 18eme arrondissement, du tag et d'un quotidien assez morose. Mais rassurez-vous, c'est bien raconté.

Et même si vous n'êtes pas du 18eme, venez en parler sur le discord.

Abonnés aux 90's et à la musique de nos voisins outre Manche, je ne pouvais pas manquer l'occasion de mettre dans le chapeau de l'émission "Asian Dub Foundation".

Cette semaine on va s'envoyer une bonne grosse dose de manifeste anti-raciste scandé avec toute la hargne de la jeunesse. Avec "Facts and Fictions" ADF marque le monde de la musique, créant un genre à part entière, mélange de Hip Hop engagé, d'Electro, de Rock, de Drum'n Bass et parfois même, au milieu de tout ça, d'un p'tit peu de Dub.

C'est riche, c'est péchu et c'est cette semaine dans "Tu vas m'niquer la batterie" !

Si toi aussi t'es pote avec Rafi, viens nous le dire sur le discord

Il est toujours de bon ton de se rappeler pourquoi on écoute tel artiste plutôt qu'un autre. Être capable de se souvenir de l'instant où cette évidence s'est offerte à vous n'est pas forcément donné à tout le monde, mais ma première rencontre avec la musique de Vitalic, je m'en souviens. Et ce n'était pas avec Flashmob.

Alors pourquoi parler de Flashmob cette semaine, me direz-vous ? C'est simple, c'est parce que c'est probablement à celui-ci que vous y avez prêté une oreille plus attentive. Et on ne vous en veut pas, on aime bien aussi.

Après tout, c'est aussi pour ça qu'on en parle. Et si vous voulez continuer la discussion, il y a le discord.

Cette semaine, on retourne une nouvelle fois début 2000, époque bénie pour moi pendant laquelle mes horizons musicaux se sont étendus (Big Up à une certaine radio suisse romande avec laquelle je n'arrête pas de vous rebattre les oreilles...).

Röyksopp, groupe d'électro chill originaire de Norvège signe un premier album aux compositions novatrices pour l'époque et emprunt d'une profonde nostalgie.

à la fois house, downtempo et autre chose d'un peu inqualifiable mais qui nous fait voyager loin, c'est une étape importante dans la longue discographie de ma vie que je vous livre ici.

Si vous aussi vous aimez les pommes norvégiennes et les pauvres Leno, rejoignez-nous pour nous le dire sur le discord

Attention, daronitude absolue en approche !

J'aime bien Dire Straits, mais je n'ai jamais compris pourquoi Brothers in arms était leur album le plus vendu. Enfin, je crois que maintenant que j'en parle avec Nico, je comprends mieux. Nos excuses aux compositeurs de bandes originales qui ont été bibreronés à Dire Straits, mais pas à Eric Serra (on t'invite, d'ailleurs !).

Bref, on parle de cet album qui, quoi qu'on en dise, est un énorme classique. Et c'était déjà le classique de vos darons, alors respectez un peu.

Cette semaine, un peu de douceur avec l'album "Digital Tenderness" du groupe allemand de Trip Hop, mais pas que, mais un peu quand même, mais pas totalement non plus "Terranova".

C'est un album que j'aime d'amour et donc, forcément, il va être difficile d'en parler. On repart début des années 2000 avec cette petite pépite éclectique et malgré tout, dotée d'une sonorité bien spécifique qui est un peu la marque de fabrique du groupe (un peu comme les trois traits là, pas ceux d'Adidas mais ceux sur la grenade là)

Bref ! J'ai jamais été aussi peu inspiré pour une description d'épisode. Le plus simple c'est encore d'écouter parce que cet album est incroyable (pas comme cette description...) voilà !

Deftones, c'est un groupe que j'ai découvert à un âge auquel je bavais encore dans ma chaise haute. Bon, à l'époque je n'en aurai retenu que le son et le fait que ça changeait beaucoup d'Henri Dès, mais c'est un son qui m'a marqué.

Je l'ai redécouvert bien longtemps après, et depuis, Around the Fur n'a jamais été très loin dans ma discothèque.

On parlera de shoegaze, mais personnellement, j'ai jamais trop regardé mes chaussures en écoutant l'album. Du coup, j'ai pris une petite claque derrière la tête en réécoutant l'album avec Nico, et spoiler : je l'aime toujours autant.

Un album que je ne peux que vous enjoindre à écouter.

Et si vous aimez regarder vos chaussures, venez nous le dire sur le discord.

Cette semaine on a réécouté une petite pépite du début des années 2000 qui sent bon les feel good vibes.

L'album "Gorillaz" du Groupe "Gorillaz", véritable petit ovni lors de sa sortie, aura certainement laissé à la plupart d'entre nous, un smile indélébile à l'écoute.

Un concept encore novateur à l'époque puisqu'il s'agit d'un des premiers groupes de musique virtuel composé exclusivement de personnages dessinés par le très talentueux et très punk Jamie Hewlett, le papa de la très punk tout court Tank Girl.

Un condensé de pleins de genres musicaux qui, mélangés donnent un album bigarré mais ultra solide.

Embarquez avec nous dans notre Jeep aux motifs militaires, y'a un lecteur de CDs

Si toi aussi, tu te sens heureux et tu as des rayons de soleil dans un sac, viens en parler ici le discord

Alors, faut que je sois honnête avec vous chers auditeurs.

Cette semaine on écoute "Soma" de Eths.

Il faut savoir qu'à la base j'ai dit à Nico qu'on écouterait "Tératologie", mais je me suis planté. Du coup j'ai du couper des blagues dans l'épisode précédent. C'est dommage, mais c'est comme ça.

Eths c'est un groupe qui est très particulier pour moi. C'est l'expression d'un mal être, un champ lexical assez poussé et des sujets un peu lourds.

C'est cette relation entre la puissance des riffs de Neo Metal, le chant qui alterne entre le Black Metal et le Death plus classique qui rend le mélange si particulier.

Tout ça pour dire que TRIGGER WARNING sujets pas nécessairement super cools dans l'album parce que c'est français, et donc vous pourriez comprendre les paroles de certains titres.

Et n'oubliez pas d'aller voter !

Et si ça vous a pas mis trop mal à l'aise, on vous attend sur le discord.

Cette semaine, un album cher à mon cœur de jeune rebelle des années 90 qui se marravait la tête à grands coup de musique électronique.

"Music for the Jilted Generation" du groupe The Prodigy ! Une galette électro pleine de fureur, d'inventivité, d'authenticité couplé à un son pionnier bien vénère à l'époque.

J'ai écrit sur The Prodigy, j'ai dessiné sur The Prodigy, j'ai rêvé sur The Prodigy, cet album aura fait travaillé mon imagination comme aucun autre.

Accompagnez-nous une nouvelle fois dans notre wayback machine, direction 1994 !