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Or
Cet épisode fut réalisé pendant la période de confinement suite à la propagation du coronavirus partout dans le monde. Un moment historique où le temps semble suspendu, arrêté et notre présent bousculé. Un micro-agent pathogène a surgi dans la marche du monde.
Cette pandémie éclaire de nombreuses failles de nos systèmes économiques, de santé ou politique. Beaucoup appellent à des changements, la crise sanitaire serait l’occasion de construire d’autre chemins, « d’interroger notre modèle de développement depuis des décennies » selon le Président Emmanuel Macron. Il s’agirait alors d’un tournant.
En roue libre, ce temps qui nous rattrape me rappelle que nous n’en sommes pas les maîtres. Preuve en est que la crise sanitaire mondiale est indiscutablement liée à la crise écologique, qu’elle en est même l’une de ses conséquences.
Alors nous pouvons réfléchir sur le temps long, revenir sur l’origine des épidémies, et revoir un point de vue sur l’histoire du Progrès et de la Civilisation. Ces deux termes forme un récit dont le commencement se situe au Néolithique (-12 000 à – 6 000 avant notre ère) lorsque l’homme moderne devint sédentaire, agriculteur, urbain, usa de l’écriture et inventa l’État.
Nous pouvons prendre du recul sur cette bascule de l’histoire, nuancer la version du Progrès comme moteur de l’évolution en comparant les différends mode de vies. Voilà un tour d’horizon pour démystifier les notions de « Tournant », de « Révolution historique », d’agriculture comme synonyme d’amélioration des conditions de l’humanité. C’est autant de pistes qui permettent de se rendre compte qu’il n’y a rien d’inéluctable dans le temps qui passe, que les périodes de bascule sont celles de multiples options possibles qui font notre histoire.
Cet épisode fut réalisé pendant la période de confinement suite à la propagation du coronavirus partout dans le monde. Un moment historique où le temps semble suspendu, arrêté et notre présent bousculé. Un micro-agent pathogène a surgi dans la marche du monde.
Cette pandémie éclaire de nombreuses failles de nos systèmes économiques, de santé ou politique. Beaucoup appellent à des changements, la crise sanitaire serait l’occasion de construire d’autre chemins, « d’interroger notre modèle de développement depuis des décennies » selon le Président Emmanuel Macron. Il s’agirait alors d’un tournant.
En roue libre, ce temps qui nous rattrape me rappelle que nous n’en sommes pas les maîtres. Preuve en est que la crise sanitaire mondiale est indiscutablement liée à la crise écologique, qu’elle en est même l’une de ses conséquences.
Alors nous pouvons réfléchir sur le temps long, revenir sur l’origine des épidémies, et revoir un point de vue sur l’histoire du Progrès et de la Civilisation. Ces deux termes forme un récit dont le commencement se situe au Néolithique (-12 000 à – 6 000 avant notre ère) lorsque l’homme moderne devint sédentaire, agriculteur, urbain, usa de l’écriture et inventa l’État.
Nous pouvons prendre du recul sur cette bascule de l’histoire, nuancer la version du Progrès comme moteur de l’évolution en comparant les différends mode de vies. Voilà un tour d’horizon pour démystifier les notions de « Tournant », de « Révolution historique », d’agriculture comme synonyme d’amélioration des conditions de l’humanité. C’est autant de pistes qui permettent de se rendre compte qu’il n’y a rien d’inéluctable dans le temps qui passe, que les périodes de bascule sont celles de multiples options possibles qui font notre histoire.