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Or


Dans cette 4ème émission, Matthias et Jérémie ont choisi un sujet pour adulte, à la fois dangereux et glissant : le rapport entre musique et sexualité ! Avec leur invitée Marie Salvat, alias Gesolmina, violoniste et chanteuse féministe, ils discuteront du sexe et du genre dans la musique. L’action des sons sur nos corps prend souvent un chemin surprenant pour chacun.e, et rapproche la musique de notre intimité la plus cachée, si elle n’est pas la plus profonde, car nous avons vu dans la précédente émission qu’il s’agissait bien d’une histoire de contact, de fêlure, et de surfaces.
En quel sens la musique est-elle reliée, trouve-t-elle un écho avec notre sexualité ? On dit bien qu’une musique nous touche. Source d’extase parfois, de simple plaisir ou encore d’angoisse, elle aurait quelque chose à voir avec la libido… Mais en en quel sens ?
Saint Augustin pensait qu’elle était voie d’accès au divin mais qu’elle pouvait mener à la concupiscence… On va voir que ces deux pôles coexistent, se répondent, forment une dialectique
Et puis a-t-elle un sexe, un genre ?
Dans un premier temps, l’exploration du fameux effet « tension – détente » dans la musique moderne du XXème siècle, son renouvellement, voire son dépassement seront évoqués. Scriabine comme Schoenberg, dans la lignée de Wagner, nous plongent dans une émotion maximale. L’extase ou l’angoisse nous rappellent les recherches des premiers psychanalystes sur la libido.
Seront aussi convoqués la sexualité dite féminine et/ou masculine. L’opéra contemporain Powder her face sera l’objet d’une vive discussion.
L’émission se terminera sur un échange avec notre invitée Marie Salvat, ses chansons issues du CD Gelsomina, ses prises de positions féministes, son parcours (d)étonnant ! Bonne écoute !
By Radio Cause CommuneDans cette 4ème émission, Matthias et Jérémie ont choisi un sujet pour adulte, à la fois dangereux et glissant : le rapport entre musique et sexualité ! Avec leur invitée Marie Salvat, alias Gesolmina, violoniste et chanteuse féministe, ils discuteront du sexe et du genre dans la musique. L’action des sons sur nos corps prend souvent un chemin surprenant pour chacun.e, et rapproche la musique de notre intimité la plus cachée, si elle n’est pas la plus profonde, car nous avons vu dans la précédente émission qu’il s’agissait bien d’une histoire de contact, de fêlure, et de surfaces.
En quel sens la musique est-elle reliée, trouve-t-elle un écho avec notre sexualité ? On dit bien qu’une musique nous touche. Source d’extase parfois, de simple plaisir ou encore d’angoisse, elle aurait quelque chose à voir avec la libido… Mais en en quel sens ?
Saint Augustin pensait qu’elle était voie d’accès au divin mais qu’elle pouvait mener à la concupiscence… On va voir que ces deux pôles coexistent, se répondent, forment une dialectique
Et puis a-t-elle un sexe, un genre ?
Dans un premier temps, l’exploration du fameux effet « tension – détente » dans la musique moderne du XXème siècle, son renouvellement, voire son dépassement seront évoqués. Scriabine comme Schoenberg, dans la lignée de Wagner, nous plongent dans une émotion maximale. L’extase ou l’angoisse nous rappellent les recherches des premiers psychanalystes sur la libido.
Seront aussi convoqués la sexualité dite féminine et/ou masculine. L’opéra contemporain Powder her face sera l’objet d’une vive discussion.
L’émission se terminera sur un échange avec notre invitée Marie Salvat, ses chansons issues du CD Gelsomina, ses prises de positions féministes, son parcours (d)étonnant ! Bonne écoute !