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Or
Les 26, 27 et 28 août 1940, l’Afrique Équatoriale française et le Cameroun se rallient à la France Libre dirigée par le Général De Gaulle. Deux mois après le célèbre Appel du 18 juin, Charles De Gaulle dispose désormais d’un territoire, des ressources humaines et matérielles pour continuer la guerre auprès des alliés. Entre 1940 et fin 1942, l’essentiel, si ce n’est l’intégralité, de la France Libre est en Afrique. C’est en Libye que les hommes du Colonel Leclerc combattent, en Guinée que d’autres sont au travail, au Cameroun que l’on produit du caoutchouc et au Congo que la France Libre se dotent d’instrument juridique, frappe monnaie et organise la mobilisation.
Cette souveraineté a permis au Général d’être crédible, légitime et in fine à la France de compter parmi les pays vainqueurs. C’est cette histoire qui est ici partagée. Un contexte et une exploitation coloniale sans lesquels la France Libre n’aurait probablement pas connu la victoire.
À L’OREILLE :
Les 26, 27 et 28 août 1940, l’Afrique Équatoriale française et le Cameroun se rallient à la France Libre dirigée par le Général De Gaulle. Deux mois après le célèbre Appel du 18 juin, Charles De Gaulle dispose désormais d’un territoire, des ressources humaines et matérielles pour continuer la guerre auprès des alliés. Entre 1940 et fin 1942, l’essentiel, si ce n’est l’intégralité, de la France Libre est en Afrique. C’est en Libye que les hommes du Colonel Leclerc combattent, en Guinée que d’autres sont au travail, au Cameroun que l’on produit du caoutchouc et au Congo que la France Libre se dotent d’instrument juridique, frappe monnaie et organise la mobilisation.
Cette souveraineté a permis au Général d’être crédible, légitime et in fine à la France de compter parmi les pays vainqueurs. C’est cette histoire qui est ici partagée. Un contexte et une exploitation coloniale sans lesquels la France Libre n’aurait probablement pas connu la victoire.
À L’OREILLE :