En Amérique du Nord, même si ce n'est plus le cas, il fut un temps où les personnes à caractère religieux étaient perçues comme des agents du bien dans la société. En quoi les réalités sont-elles différentes dans les pays francophones? 

Dans le chapitre quatre, McLaughlin aborde la question de savoir si la religion est un obstacle à la moralité. Pourquoi cette question est-elle pertinente?

Le chapitre aborde l'idée que la moralité religieuse est souvent considérée comme un simple moyen d'éviter la punition. Quelle serait, selon toi, une compréhension plus complète de la motivation des actions morales dans le cadre d'une vision biblique du monde? 

McLaughlin affirme que les droits de l'homme tels que nous les connaissons en Occident sont fondés sur une vision biblique de l'être humain, à savoir que nous sommes distincts du reste de la création en tant que porteurs de l'image de Dieu. Comment répondrais-tu à cette affirmation et comment mettriez-vous en évidence les contributions potentielles des croyances religieuses au raisonnement moral?

McLaughlin évoque l'idée de certains que les codes moraux religieux peuvent parfois être incohérents ou dépassés. Que dirais-tu en réponse à une telle affirmation? 

Comment une bonne compréhension de ces questions nous aide-t-elle à mieux servir et à aimer Christ?