Surfant sur ce succès, l’album Panique Celtique s’écoule par centaines de milliers d’exemplaires, prouvant que la fusion entre deux univers a priori opposés (rap et musique bretonne) peut rallier un large public. Manau n’atteindra plus jamais un tel niveau de popularité, mais ce morceau restera gravé comme une curiosité envoûtante et réussie, symbole d’une époque ouverte à l’expérimentation.