Dans cet épisode, nous vous emmenons en immersion dans un atelier d’alimentation durable, coanimé par Fairéco et Cocagne Alimenterre, à Toulouse. L'occasion de suivre les familles des quartiers prioritaires qui, à travers des actions concrètes, s'engagent dans la transition écologique. Nous allons ainsi découvrir comment ces initiatives locales transforment leur quotidien, grâce à des solutions accessibles pour une vie plus responsable.

Aujourd’hui, nous allons déguster un repas bio, gourmand et de saison. Pour sa 5ᵉ édition, Le Grand Repas s’est une nouvelle fois appuyé sur des parrains et des marraines cheff.es à travers tout le territoire. En collaborant avec la restauration collective, ils ont imaginé des menus prônant l’écoresponsabilité et le partage. Prenant place au sein des lieux de restauration habituels, cette initiative culinaire souhaite ainsi sensibiliser à une alimentation saine et gourmande autour d’un repas convivial.

Nous partons à la rencontre de créatrices strasbourgeoises adeptes de l'upcycling, le surcyclage en français. Un terme qui consiste, pour faire simple, à créer des pièces à partir d’autres pièces. Faire donc avec de l’existant pour éviter de devoir produire davantage. Elles proposent ainsi des vêtements uniques et plus durables… De quoi sensibiliser à la nécessité de réduire l'impact du secteur de la mode sur notre planète.

Vous en avez assez de voir le prix de l'électricité augmenter régulièrement ? Si le savoir électrique semble toujours entre les mains des sachants, il n'est pas impossible pour les citoyens de reprendre le pouvoir en changeant de fournisseur d'énergie, en priorisant l'électricité verte, voire en investissant dans un projet citoyen. Depuis 10 ans, 370 projets de la sorte ont vu le jour en France. Exemple dans le Tarn-et-Garonne, avec une centrale solaire citoyenne co-gérée par une coopérative de locaux et Enercoop, fournisseur et producteur coopératif d'électricité à base d'énergie renouvelable.

Dans cet épisode, le cabinet de design Félix et associés, à Bordeaux, nous ouvre ses portes pour nous présenter sa matériauthèque verte. Près de 60 références de matériaux biosourcés, géosourcés ou issus du recyclage et de l'économie circulaire, sont présentées. Ce projet, c'est le fruit d'une réflexion en interne de l'entreprise certifiée B Corp, pour concevoir de façon plus écoresponsable et durable, aussi avec ses partenaires.  

Les Capitalistes Anonymes, c'est un groupe de parole qui reprend les codes des Alcooliques Anonymes. Ici aussi, on parle d'addiction. Non pas à la drogue ou à l'alcool, mais à la société de consommation. Ce n'est pas pour rien que la première des huit étapes de cette sorte de thérapie collective, c'est de reconnaître sa participation active à un mode de vie qui abîme le vivant. Mais ici, on n'est pas là pour se reprocher des choses, mais pour s'entraider. On s'échange des bonnes pratiques : comment rendre son quotidien plus sobre, comme intégrer les low-tech à sa vie, comme parler d'écologie à ses proches pour les inciter à réduire — eux aussi – leurs dépenses carbones. Dans cet épisode, plongez au cœur de ce groupe de parole original et inspirant !

Dans cet épisode, direction la première biennale ARTIVISM, à Bordeaux, à la Maison Manpaï. Elle a été créée par Alexandra Mas, plasticienne bordelaise, qui a également monté le collectif Artivism, en 2019. Celui-ci rassemble une centaine d'artistes internationaux contemporains qui, a leur façon, abordent les enjeux socioécologiques dans leur art. 

Parlons cinéma et défis environnementaux avec Marta Garcia Larriu. Cette productrice de films a créé l'association culturelle Another Way, il y a dix ans, dans son pays d'origine, l'Espagne. Elle est également à l'initiative d'un festival sur le cinéma et l'environnement. Elle a exporté cet événement pour la première fois hors de la péninsule ibérique, à Bordeaux. 

Des fermes un quartier est une épicerie responsable et engagée, dans le 12ᵉ arrondissement de Paris. L’ambiance est résolument rétro, le patron à l’image ses produits qu’il propose : authentique. « Quand on a créé l’épicerie avec mon associé, on a pensé à une espèce de devise : connaître et faire connaître ceux qui nous nourrissent. Ce que j’essaye de faire ici, c’est proposer des produits de qualité. Nous sommes en majorité bio. C’est surtout de la fidélité à des producteurs. Nous travaillons en circuit court », explique Eric. 

Cela fait deux ans qu’il porte sa blouse d’épicier, « même si ce n’est pas facile tous les jours ». Porté par ses convictions, soutenu par son associé, sa famille et ses clients, il s’évertue chaque jour de tendre vers le mieux agir et mieux consommer. 

Dans cet épisode, nous rencontrons Ghislain Bardout, l'un des fondateurs d'Under the Pole. Ce programme d'exploration sous-marine allie recherches scientifiques, innovation et sensibilisation, dans le but de préserver la biodiversité marine. L'équipage est parti en février dernier du port de Concarneau, dans le Finistère, à bord du voilier le WHY, pour poursuivre le programme Under the Pole IV Deep Life. Le but : explorer et étudier les différents bassins océaniques du globe. Cette expédition va durer au moins cinq ans.