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Or
L’épisode débute par une discussion sur une étude récente de Media Matters qui démontre mathématiquement que la droite politique est surreprésentée dans les médias numériques, contrairement à ce que prétendent certains influenceurs de droite qui affirment être censurés. L’étude a analysé 320 émissions en ligne et révèle que:
Catherine souligne l’existence de Rumble, une plateforme alternative à YouTube particulièrement populaire auprès de la droite et des théoriciens du complot. Sam explique que cette plateforme, ainsi que d’autres comme Odyssée, sont devenues des refuges pour les créateurs de contenu bannis des plateformes traditionnelles, notamment pendant la pandémie.
Les intervenants discutent des raisons de cette disproportion, évoquant notamment:
La discussion se tourne ensuite vers Starlink et son utilisation problématique. Sam présente un article de Wired qui révèle que le service d’internet par satellite de SpaceX est utilisé par des centres de fraude massifs en Asie du Sud-Est:
Les intervenants soulignent l’ironie de la situation: Elon Musk menace régulièrement de couper l’accès à Starlink en Ukraine pour des raisons politiques, mais semble incapable ou peu disposé à bloquer l’utilisation de son service par des organisations criminelles. Ils évoquent la possibilité que le modèle économique de Starlink bénéficie de ces grands consommateurs de bande passante, rendant l’entreprise complice par inaction.
Catherine aborde une fraude actuellement en cours sur YouTube, où des fraudeurs utilisent un deepfake du PDG de YouTube pour contacter des créateurs de contenu:
Cette fraude conduit à une discussion plus large sur l’inefficacité de la sensibilisation à la cybersécurité. Les intervenants déplorent que malgré les efforts de sensibilisation en entreprise, la fraude continue d’augmenter. Ils suggèrent que des approches plus créatives seraient nécessaires, comme des séries télévisées ou des contenus de divertissement intégrant des messages de sensibilisation, à l’instar d’une série financée par le ministère de la cybersécurité en Chine.
Les participants concluent que les acteurs malveillants savent manipuler efficacement l’humain, tandis que les “bons” ne parviennent pas à utiliser les mêmes moyens pour faire passer leurs messages de prévention. Ils plaident pour une meilleure collaboration entre les ministères (culture et cybersécurité) pour créer des contenus engageants qui sensibiliseraient efficacement le grand public aux risques de fraude en ligne.
L’épisode débute par une discussion sur une étude récente de Media Matters qui démontre mathématiquement que la droite politique est surreprésentée dans les médias numériques, contrairement à ce que prétendent certains influenceurs de droite qui affirment être censurés. L’étude a analysé 320 émissions en ligne et révèle que:
Catherine souligne l’existence de Rumble, une plateforme alternative à YouTube particulièrement populaire auprès de la droite et des théoriciens du complot. Sam explique que cette plateforme, ainsi que d’autres comme Odyssée, sont devenues des refuges pour les créateurs de contenu bannis des plateformes traditionnelles, notamment pendant la pandémie.
Les intervenants discutent des raisons de cette disproportion, évoquant notamment:
La discussion se tourne ensuite vers Starlink et son utilisation problématique. Sam présente un article de Wired qui révèle que le service d’internet par satellite de SpaceX est utilisé par des centres de fraude massifs en Asie du Sud-Est:
Les intervenants soulignent l’ironie de la situation: Elon Musk menace régulièrement de couper l’accès à Starlink en Ukraine pour des raisons politiques, mais semble incapable ou peu disposé à bloquer l’utilisation de son service par des organisations criminelles. Ils évoquent la possibilité que le modèle économique de Starlink bénéficie de ces grands consommateurs de bande passante, rendant l’entreprise complice par inaction.
Catherine aborde une fraude actuellement en cours sur YouTube, où des fraudeurs utilisent un deepfake du PDG de YouTube pour contacter des créateurs de contenu:
Cette fraude conduit à une discussion plus large sur l’inefficacité de la sensibilisation à la cybersécurité. Les intervenants déplorent que malgré les efforts de sensibilisation en entreprise, la fraude continue d’augmenter. Ils suggèrent que des approches plus créatives seraient nécessaires, comme des séries télévisées ou des contenus de divertissement intégrant des messages de sensibilisation, à l’instar d’une série financée par le ministère de la cybersécurité en Chine.
Les participants concluent que les acteurs malveillants savent manipuler efficacement l’humain, tandis que les “bons” ne parviennent pas à utiliser les mêmes moyens pour faire passer leurs messages de prévention. Ils plaident pour une meilleure collaboration entre les ministères (culture et cybersécurité) pour créer des contenus engageants qui sensibiliseraient efficacement le grand public aux risques de fraude en ligne.
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