C’est une question qui s’est posée cette semaine et pas n’importe où : devant la Cour Suprême des États Unis. Parce que dans le pays de l’Oncle Sam, où la liberté d’expression est totale, les géants du web sont protégés depuis 1996 par une loi qui s’appelle « section 230 » qui les empêche d’être poursuivies pour le contenu mis en ligne sur leurs sites et application.
Sauf que en 1996, Google, Facebook, et autre Twitter n’existaient pas. Et le 13 novembre 2015, dans cette nuit d’horreur des attentats de Paris, Nohemi Gonzalez, une jeune Américaine trouvait la mort. Et ses parents ont porté plainte contre Google. Ils estiment que l’algorithme de Google a suggéré des vidéos qui les ont radicalisées. Les parents ont été débouté par les tribunaux en raison de cette fameuse section 230, et ils se sont tournés vers la plus haute juridiction des États Unis.
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