Bonjour, Paris !C’est toujours la même chanson,O mon amour, que je fredonne :Tout ce que j’ai, je te le donne,Nos cœurs battent à l’unisson.Sur les quais, le long de la Seine,À Montmartre, près des moulins,Mes souvenirs entrent en scène :Bonjour, Paris des assassins !Bonjour, Paris des midinettes,Des filles, des mauvais garçons,Des clochards et des bals-musettes !Si je te dois d’être poète,C’est sur un air d’accordéon.Francis Carco