Dans cet épisode, la paix se rêve et s’affirme à la manière de Victor Hugo : une paix ardente, universelle, portée par la force des mots et l’engagement de l’esprit.
Hugo, témoin de son temps et infatigable défenseur de la justice, n’a jamais cessé de dénoncer les affres de la guerre et d’appeler à la concorde entre les peuples. Poète, romancier, tribun, il a fait de la fraternité humaine et de l’union des nations un idéal à poursuivre sans relâche.

À travers ses discours, ses poèmes et ses romans, il a défendu l’idée que la paix ne se limite pas à l’absence de conflit, mais qu’elle est un état actif d’harmonie, de justice et de solidarité.
Par la puissance de ses images et la profondeur de sa pensée, Hugo nous invite à repenser la paix comme une aventure collective, une exigence morale et un combat de chaque instant.

Dans cet épisode, la paix se raconte et se rêve à la manière de Jacques Prévert : une paix simple, vivante, enracinée dans le quotidien et portée par la poésie. Inspiré par l’engagement du poète contre la guerre, contre l’injustice et pour la liberté.

Plongez dans un épisode où la paix se raconte, s’imagine et se rêve à la manière de Jean de La Fontaine.
Entre philosophie, poésie et réflexion sur notre société, cet épisode vous invite à ouvrir un espace d’écoute et de dialogue, où la diversité devient richesse et où chaque voix, même la plus discrète, a sa place dans la grande fable de la paix.

Selon Philippe Miquel

« Variation sur le thème « vous qui passez sans me voir »

« il ne faut regarder ni les choses, ni les personnes. Il ne faut regarder que dans les miroirs, car les miroirs ne nous montrent que des masques

Héroïde à Salomé,

Oscar Wide, Salomé, 1891 »

La morale principale de la fable « le loup et l’agneau » de Jean de la Fontaine est exprimée dès le premier vers « la raison du plus fort est toujours la meilleure »

Cette fable illustre l’injustice et l’abus de pouvoir qui règnent dans la société

Les principaux éléments de la morale sont

- la critique de la loi du plus fort : la fable montre comment le puissant (le loup ) peut imposer sa volonté au faible (l’agneau ) sans se soucier de la justice ou de la raison

- l’impuissance de la logique, face à la force : malgré ses arguments logiques et son innocence, l’agneau ne peut échapper à son sort

- la mise en évidence des inégalités sociales : le dialogue entre le loup et l’agneau révèle une hiérarchie sociale injuste dans le contexte historique de Louis XIV.

Pour Jean de la Fontaine il est parfois plus sage de faire preuve de souplesse face aux défis de la vie que de résister obstinément et de refuser de céder alors que c’est le meilleur choix

Il l’illustre dans la fable « le chêne et le roseau » de la façon suivante :

Près d’une rivière un chêne était planté près d’un roseau

Quand le vent soufflait le chêne se dressait fièrement tandis que le roseau se courbait

Un jour un vent particulièrement violent redoubla de fureur se mit à souffler. Le chêne tenta de résister mais finit par se briser tandis que le roseau se courba puis se redressa après la bourrasque.

« La pente de la rêverie «  est un poème visionnaire de Victor Hugo

Le poème décrit l’expérience d’un rêveur qui, assis à sa fenêtre à Paris, se laisse emporter par sa rêverie vers des contrées lointaines et imaginaires

Partant d’une scène réaliste sa vision s’élargit progressivement, traversant d’immenses cités antiques et plongeant dans des foules où se mêlent vivants et morts. Le voyage mental du poète le conduit à travers toutes les dimensions de l’univers.

Voici une petite introspection de Charlie Chaplin qui donne a réfléchir.

Dans cet épisode, plongeons dans l'univers espiègle et poétique de Victor Hugo à travers son poème Les Griffonnages de l'Écolier, tiré du recueil L'Art d'être grand-père. Ce texte explore avec tendresse et humour l'imagination débordante d'un enfant qui, lassé par ses leçons, laisse libre cours à sa créativité en dessinant sur son livre de classe. Nous discuterons de la manière dont Hugo mêle satire, innocence enfantine et critique des pédagogies rigides, tout en célébrant la spontanéité et la liberté artistique. Une réflexion touchante sur le lien entre enfance et génie créatif.

Le pont géant évoqué par Victor Hugo symbolise la liaison entre l'homme et Dieu, permettant de traverser l'abime du deuil et de la souffrance.

Un fantôme blanc apparait et propose de bâtir ce pont.

La prière décrite comme une lumière pure et innocente capable de relier deux mondes.