Pour commencer je vous souhaite à tous.tes une très bonne année 2022. Une année sous le signe de l’amour de soi, l’amour des autres et l’amour de l’art. Pour commencer cette année en douceur, un thème que je n’ai pas encore abordé en plus d’un an et demi d’épisodes… un thème plus léger, plus fantastique, plus légendaire...

Comment penser l’incommensurable, l’invisible, l’immortel dans les limites du corps humain, imparfait et périssable…

Gigantisme, hybridation, zoomorphisme, hypersexualité… cette avalanche de mots renseignent sur la nature iconographique des divinités. Elles sont toujours TROP, possèdent des capacités hors normes et surtout elles se distinguent volontairement de nous, pauvres mortels, humains ayant une vie déterminée et un corps pour ainsi dire lambda. Prenez cette phrase : les hommes ont fait Dieu à leur image ou dans l’autre sens, Dieu s’est-il calqué sur le modèle humain ? : vaste débat qui nous prendrait des heures que l’on soit croyant ou non. Toujours est-il qu’il y a bien une parenté entre les hommes et les dieux. La proximité a toutefois ses limites, puisqu’en cas d’unions mixtes, le divin n’est ni automatiquement, ni génétiquement, transmissible. Quelles sont les représentations plastiques des divinités ? A quoi les reconnaît-on ? Pourquoi dit-on beau comme un dieu ? Corps divins vs corps humains c’est parti, bonne écoute !

Écriture et réalisation : Maurine Roy. Illustration : Lucie C. Toutes les œuvres d'art et bibliographiques sont à retrouver sur la page fb du podcast et Instagram @dessinemoipodcast Tous droits réservés.