C’est décidé, 2020 est une année horrible. OK, faut dire qu’il y a des arguments. Et donc, on fait quoi ? On attend 2021 en broyant du noir ? Ou bien peut-être peut on essayer de voir les choses légèrement autrement…

Pour optimiser ses journées, il faut apprendre à se connaitre. Il faut arriver à identifier les moments où l’on est productif et ceux où on ne l’est pas. C’est un effort qui permettra de rendre tout le reste plus facile.

Le levier de la manipulation est sans doute la grande leçon de Sun-Tzu : pas vraiment pour se jouer de l’autre, mais pour résoudre une impossibilité, ou une difficulté, ou tout simplement par stratégie.

Lorsque j’entame une relation professionnelle, quelle qu’elle soit, pour jauger la personne en face, je me pose une question : quel est son salaire ? Non, pas sa fiche de paye, mais ce qui le nourrit vraiment, ce dont il a besoin pour se sentir plein et satisfait de notre relation.

On nous répète tous le temps qu’il ne faut pas avoir de regret, qu’il faut être discipliner, en gros qu’il faut être en robot. Quelqu’un avec une vie heureuse, sans blessure, parfaite quoi. Je ne suis pas d’accord avec ça, et dans cet épisode je partage ma vision de ce que j’appelle, la parfaite vie imparfaite.

Etre un dictateur n’est pas forcément la situation idéale, même si elle satisfait l’envie de rapidité. En fait, en cherchant à éviter les comités trop lourds à gérer, ce qu’on cherche à éviter, c’est avant tout de converger vers le consensus mou. Le truc qui est tellement fait de compromis qu’il en devient complètement insipide, ou au contraire monstrueux d’incohérence.

Il y a 1001 façons de commencer une journée. Il peut arriver 10 000 événements imprévus. La variable de hasard est grande. Chaque journée est unique et comporte son lot de surprise, positive ou négative. Comment les accueillir ?

Rentrons maintenant dans ce qui fait le coeur de la stratégie de Sun-Tzu : éviter d’attaquer de front, mais toujours prendre à contrepied son adversaire, pour reprendre l’initiative, et surtout la main.

Ne pas affronter le yang avec du yang, mais avec du yin, son complément qui est aussi sa source.

Avoir un projet, c’est aussi se réveiller en pleine nuit, avec le cerveau qui se met en marche, et là impossible de l’arrêter. Dans ces moments là, faut-il repousser l’inspiration ou l’accueillir à bras ouvert ?

On a beau être passionné, adorer ce qu’on fait, parfois il arrive qu’on se sente complètement dépasser par la situation. On se sent submerger par une situation ou une charge de travail. Pour régler ce problème, il n’existe pas 36 solutions.