En Finlande, les parents demandent à leurs enfants avant de dormir :
« C’était quoi ton moment de lumière aujourd’hui ? »

Une question toute simple.
Pas pour analyser.
Juste pour déposer un rayon de douceur avant de fermer les yeux.

Et j’ai trouvé ça beau.
Parce que ce petit rituel, il dit au cerveau :
« C’est fini pour aujourd’hui. Tu peux poser les armes. »

Alors j’ai voulu essayer.
Mais à ma manière.

Ce soir-là, j’ai éteint la lampe, posé le téléphone… et j’ai chuchoté :
« Ya Rabb… Qu'elles sont belles Tes traces de miséricorde aujourd’hui dans ma vie ! »

J’ai repensé à un sourire dans la rue.
À un mail qui m’a soulagé.
À ce moment où j’ai failli tomber et où, mystérieusement, j’ai tenu debout.

Et là, quelque chose a basculé.
Pas dans ma tête.
Dans mon corps.
Comme si mon système nerveux avait fait un soujoud de gratitude.

Clôturer la journée avec Allah, c'est la paix intérieure activée.

Et j’ai compris.
Souvent, on ferme nos yeux comme on ferme 56 onglets sans sauvegarde 😵‍💫
On dit « bonne nuit », mais nos organes sont encore en mode alerte.
Notre ventre garde le stress, notre cœur garde les peurs.

Alors que parfois, il suffit d’un souffle.
D’une confidence douce.
D’une discussion intime.

Dans le prochain épisode, je t’emmène là-dedans :
comment les Finlandais, les poètes arabes et la médecine chinoise parlent tous… de la même chose :
la clôture.

Ce moment précieux où le corps comprend enfin :
« C’est fini. Tu peux reposer ton âme. »

Et si toi aussi tu veux apprendre à clôturer, ton corps, tes organes, tes peurs…
doucement, lune après lune,
👉 tu sais où frapper : Lune Après Lune.

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