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Or
Vous avez chargé votre téléphone à 100 % avant d’aller dormir, et au réveil, surprise : la batterie est en chute libre. Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul. Ce problème, très fréquent chez les utilisateurs Android, a enfin retenu l’attention de Google, qui dévoile un nouvel outil pour traquer les applications trop gourmandes en énergie.
Le cœur du problème ? Les wake locks. Ces fonctions permettent aux applications de garder votre téléphone actif, même quand l’écran est éteint. Si cela peut être utile – pour écouter de la musique ou suivre votre position GPS – certains développeurs en abusent, grignotant la batterie en douce, sans que l’utilisateur n’en soit conscient.
Google lance donc une nouvelle métrique de performance qui identifie les usages abusifs. Toute application qui utilise des wake locks pendant plus de trois heures en arrière-plan sur 24 heures – sans service actif à l’écran – sera désormais dans le viseur. L’objectif : distinguer les usages légitimes des comportements problématiques. Pour cela, Google travaille main dans la main avec des géants comme Samsung, afin d’harmoniser les critères de performance sur tous les appareils Android.
Les développeurs disposent désormais de données précises via Android Vitals, un outil intégré à la console Play. Il leur permet de savoir si leur application met trop à mal la batterie des utilisateurs. Des exceptions sont prévues : écouter de la musique en arrière-plan, par exemple, reste autorisé sans pénalité. Mais attention : si une application dépasse ce seuil critique dans plus de 5 % des sessions sur 28 jours, elle pourrait voir sa visibilité réduite dans le Play Store. De quoi inciter les éditeurs à revoir leur copie. Ce nouveau dispositif n’est que le début. Google prévoit déjà l’ajout de nouvelles métriques autour des performances et de l’autonomie, pour aider les développeurs à optimiser leurs apps… et offrir, à terme, une expérience Android plus fluide et économe en énergie.
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Vous avez chargé votre téléphone à 100 % avant d’aller dormir, et au réveil, surprise : la batterie est en chute libre. Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul. Ce problème, très fréquent chez les utilisateurs Android, a enfin retenu l’attention de Google, qui dévoile un nouvel outil pour traquer les applications trop gourmandes en énergie.
Le cœur du problème ? Les wake locks. Ces fonctions permettent aux applications de garder votre téléphone actif, même quand l’écran est éteint. Si cela peut être utile – pour écouter de la musique ou suivre votre position GPS – certains développeurs en abusent, grignotant la batterie en douce, sans que l’utilisateur n’en soit conscient.
Google lance donc une nouvelle métrique de performance qui identifie les usages abusifs. Toute application qui utilise des wake locks pendant plus de trois heures en arrière-plan sur 24 heures – sans service actif à l’écran – sera désormais dans le viseur. L’objectif : distinguer les usages légitimes des comportements problématiques. Pour cela, Google travaille main dans la main avec des géants comme Samsung, afin d’harmoniser les critères de performance sur tous les appareils Android.
Les développeurs disposent désormais de données précises via Android Vitals, un outil intégré à la console Play. Il leur permet de savoir si leur application met trop à mal la batterie des utilisateurs. Des exceptions sont prévues : écouter de la musique en arrière-plan, par exemple, reste autorisé sans pénalité. Mais attention : si une application dépasse ce seuil critique dans plus de 5 % des sessions sur 28 jours, elle pourrait voir sa visibilité réduite dans le Play Store. De quoi inciter les éditeurs à revoir leur copie. Ce nouveau dispositif n’est que le début. Google prévoit déjà l’ajout de nouvelles métriques autour des performances et de l’autonomie, pour aider les développeurs à optimiser leurs apps… et offrir, à terme, une expérience Android plus fluide et économe en énergie.
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