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Or
À Tokyo, le thermomètre a déjà frôlé les 40 degrés début juillet, avec une humidité étouffante de près de 80 %. Et le pire est à venir : juillet et août s’annoncent encore plus suffocants. Le mois de juin, lui, a déjà battu un triste record : jamais le Japon moderne n’avait connu un tel niveau de chaleur. Une situation qui inquiète sérieusement les autorités sanitaires. L’été dernier, plus de 97 000 personnes avaient dû être secourues après un malaise dû à la chaleur. Cette année, les hospitalisations et arrêts de travail risquent de se multiplier.
Face à cette menace, une nouvelle pratique s’installe : l’assurance “coup de chaud”. Certaines compagnies proposent désormais des contrats ultra-flexibles, accessibles directement depuis son smartphone. On peut souscrire à la journée, à la semaine ou au mois. Le principe est simple : si vous savez que vous allez passer du temps dehors – un match de baseball, une partie de golf ou même un barbecue entre amis – vous pouvez activer pour 100 yens seulement, soit 60 centimes d’euro, une couverture spéciale. En cas de malaise et d’hospitalisation, l’assureur verse automatiquement une indemnité d’environ 10 000 yens, soit 60 euros, en plus de la prise en charge médicale. Certaines formules incluent même un remboursement pour les heures de travail perdues. Une manière de sécuriser un quotidien où la chaleur devient, littéralement, un risque professionnel.
Et les Japonais ne sont pas les seuls concernés. Leurs animaux de compagnie aussi peuvent désormais être protégés. La société Anicom, par exemple, propose des assurances anti-canicule pour chiens et chats. Elle publie chaque semaine une carte des risques de coups de chaleur afin d’alerter les propriétaires. Dans un pays où l’été devient chaque année plus dangereux, l’assurance contre la chaleur illustre une nouvelle réalité : la météo n’est plus seulement une contrainte, elle est devenue une menace… assurée.
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À Tokyo, le thermomètre a déjà frôlé les 40 degrés début juillet, avec une humidité étouffante de près de 80 %. Et le pire est à venir : juillet et août s’annoncent encore plus suffocants. Le mois de juin, lui, a déjà battu un triste record : jamais le Japon moderne n’avait connu un tel niveau de chaleur. Une situation qui inquiète sérieusement les autorités sanitaires. L’été dernier, plus de 97 000 personnes avaient dû être secourues après un malaise dû à la chaleur. Cette année, les hospitalisations et arrêts de travail risquent de se multiplier.
Face à cette menace, une nouvelle pratique s’installe : l’assurance “coup de chaud”. Certaines compagnies proposent désormais des contrats ultra-flexibles, accessibles directement depuis son smartphone. On peut souscrire à la journée, à la semaine ou au mois. Le principe est simple : si vous savez que vous allez passer du temps dehors – un match de baseball, une partie de golf ou même un barbecue entre amis – vous pouvez activer pour 100 yens seulement, soit 60 centimes d’euro, une couverture spéciale. En cas de malaise et d’hospitalisation, l’assureur verse automatiquement une indemnité d’environ 10 000 yens, soit 60 euros, en plus de la prise en charge médicale. Certaines formules incluent même un remboursement pour les heures de travail perdues. Une manière de sécuriser un quotidien où la chaleur devient, littéralement, un risque professionnel.
Et les Japonais ne sont pas les seuls concernés. Leurs animaux de compagnie aussi peuvent désormais être protégés. La société Anicom, par exemple, propose des assurances anti-canicule pour chiens et chats. Elle publie chaque semaine une carte des risques de coups de chaleur afin d’alerter les propriétaires. Dans un pays où l’été devient chaque année plus dangereux, l’assurance contre la chaleur illustre une nouvelle réalité : la météo n’est plus seulement une contrainte, elle est devenue une menace… assurée.
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