ous retrouvons Charles Gaudreau et Sébastien Saint-François pour une discussion qui explore l'impact des événements mondiaux sur notre vie quotidienne. Charles partage ses réflexions sur l'anxiété sociale générée par les décisions politiques internationales, tandis que Sébastien appelle à la solidarité humaine.

En ce début de mois de mars, trois sujets retiennent l’attention du chroniqueur citoyen Sébastien St-François. Premièrement, à peine trois mois après le lancement de Santé Québec, le numéro 2 de la méga-agence, Frédéric Abergel, se voit montrer la porte par la PDG, Geneviève Biron. On rapporte qu’un conflit opposait les deux dirigeants. Deuxièmement, après le fiasco diplomatique de vendredi dernier dans le bureau Ovale opposant le président de l’Ukraine aux président et vice-président des États-Unis, quelle est la suite des choses pour le pays de Volodymyr Zelensky et l’issue de l’invasion russe? Troisièmement, Donald Trump a officiellement donné le coup d’envoi à une guerre commerciale sans précédent contre son principal partenaire commercial. Combien de temps cette folie tarifaire pourra-t-elle tenir et le Canada a-t-il les reins assez solides pour infliger à son tour des dommages à l’économie américaine?

Pour sa dernière chronique citoyenne du mois de février, Sébastien St-François fait le tour de trois sujets d’actualité des derniers jours. Premièrement, il y a eu débat plutôt soporifique et laborieux des quatre candidats à la succession de Justin Trudeau lundi soir, dans un contexte où, selon le plus récent sondage Léger, un Parti libéral dirigé par Mark Carney serait en tête à l’échelle du Canada ainsi qu’au Québec, avec 40 % des voix. Deuxièmement, dimanche en Allemagne, c’est le chef conservateur Friedrich Merz qui est arrivé bon premier avec 30 % des voix et qui sera le prochain chancelier du pays. Par ailleurs, le parti d’extrême droite, l’Alternativ für Deutchland (AfD), a récolté une voix sur cinq (20 %, doublant ainsi ses appuis en quatre ans. Troisièmement, dans le dossier de l’Ukraine, Trump semble résolu et veut que son pays se « rembourse » pour l’aide accordée ces trois dernières années en puisant dans les terres rares du pays. Zelensky est prêt à démissionner sur-le-champ si son pays est accueilli au sein de l’OTAN, alors que Poutine pourrait fort bien conserver la Crimée ainsi que le Donbass – représentant 20 % du territoire ukrainien d’avant 2014.

En cette avant-dernière semaine de février, trois sujets d’actualité ont retenu l’attention du chroniqueur citoyen Sébastien St-François. Premièrement, le Québec a-t-il encore les moyens de son État-providence six décennies après la Révolution tranquille? Les dépenses des administrations publiques ont fait un bond de 5,5 % sur 20 ans. Malgré cela, le Québec peine à joindre les deux bouts et une récente étude démontre que près d’un cégepien sur deux est touché par l’insécurité alimentaire. Le mur se dresse devant nous, et le Québec doit se réinventer. Deuxièmement, selon le dernier coup de sonde de Qc125 du 16 février dernier, les conservateurs – malgré qu’ils formeraient toujours un gouvernement majoritaire – sont en baisse, tandis que les libéraux sont en hausse, grâce au « phénomène » Carney. Pour le NPD, c’est la catastrophe. Troisièmement, l’administration Trump est-elle en train de larguer l’Europe et l’Ukraine? Les récents signaux sont préoccupants : discours de J.D. Vance à la Conférence de Munich sur la sécurité, négociations directes entre la Russie et les États-Unis,

Cette semaine, le chroniqueur citoyen Sébastien St-François aborde quatre sujets d’actualité. Récemment, le gouvernement du Québec a annoncé sa recherche d’un « top gun » pour Mobilité Infra Québec, une nouvelle agence censée réduire les délais et les coûts des projets de transport collectif. À l’instar de Santé Québec, en activité depuis le 1er décembre dernier, s’agit-il d’une volonté de refiler la responsabilité ministérielle à une personne non élue? Parallèlement, le ministre de la Santé, Christian Dubé, dans son projet de loi 83, propose des mesures pour obliger les nouveaux médecins à exercer dans le secteur public, dans l’espoir de pallier la pénurie dans le réseau. Au Canada, nombre d’analystes affirment qu’il est grand temps pour le pays de diversifier ses relations commerciales internationales pour réduire sa dépendance des États-Unis en réponse au protectionnisme extrême du nouveau locataire de la Maison-Blanche. Enfin, aux États-Unis, le débat sur l’affaiblissement de l’autorité judiciaire face aux actions de l’exécutif prend de l’ampleur. Certains experts s’inquiètent du virage « impérialiste » de l’exécutif, où l’administration Trump semble de moins en moins encline à respecter les décisions judiciaires, menaçant ainsi l’équilibre des pouvoirs.

En cette première semaine de février, le chroniqueur citoyen Sébastien St-François se penche longuement sur tout le chaos que créent les menaces de Donald Trump contre le Canada. Selon lui, nous devons cesser de réagir à la moindre déclaration du 47e président américain – qu’il s’agisse de retirer des bouteilles des tablettes des succursales de la SAQ au Québec ou de déchirer une entente conclue par l’Ontario avec Starlink – et saisir l’occasion qui s’offre à nous pour revoir notre économie et réduire notre dépendance économique du géant américain. Il termine sur une bonne nouvelle économique, l’histoire de Marie-Josée Kendall, qui passe de caissière à franchisée Dick Ann’s à Chomedey.

Trois sujets d’actualité retiennent l’attention du chroniqueur citoyen Sébastien St-François cette semaine. Devant ce qu’elle qualifie de « crise humanitaire », la mairesse de Montréal, Valérie Plante, interpelle une fois de plus le premier ministre, François Legault, qu’elle accuse de fermer les yeux sur la crise de l’itinérance qui ne cesse de gagner en ampleur dans la métropole. En matière technologique, les Chinois débarquent avec fracas dans l’arène de l’intelligence artificielle avec DeepSeek, le « ChatGPT chinois » qui agite la Silicon Valley et a fait perdre au géant NVIDIA 600 milliards de dollars en capitalisation boursière. Au Canada, Ottawa et les provinces se préparent à la probable imposition de tarifs douaniers par Donald Trump dès samedi : élections précipitées en Ontario, aide « pandémique » du gouvernement fédéral – bref tout est sur la table.

Cette semaine, le chroniqueur citoyen Sébastien St-François commente trois dossiers ayant défrayé la chronique et retenu son attention. Pour commencer, on apprend que Santé Québec, la nouvelle agence dirigée par la « top gun » Geneviève Biron, a dépensé 103 000 $ pour se trouver une identité de marque. Est-ce vraiment nécessaire, alors que les priorités en santé ne manquent pas au Québec? Ensuite, dans la course à la direction du Parti libéral du Canada, les principaux prétendants affichent leurs couleurs : Mark Carney se dit le candidat de l’économie, Chrystia Freeland vante sa capacité de négocier avec Donald Trump et Karina Gould mise sur sa jeunesse. Enfin, lundi dernier, Donald Trump a fait son retour fracassant à la Maison-Blanche. Que réserve le 47e président des États-Unis au Canada et à la planète au cours des quatre prochaines années?

Cette semaine, le chroniqueur citoyen Sébastien St-François commente trois sujets d’actualité, soit la course à la chefferie du Parti libéral du Québec et la course à la direction du Parti libéral du Canada – qui s’annonce de plus en plus comme un affrontement entre l’ancienne ministre des Finances, Chrystia Freeland, et l’ancien gouverneur de la Banque du Canada, Mark Carney. Aussi, notre chroniqueur se prononce sur le débat public entourant la stratégie que devrait adopter le Canada en riposte à d’éventuels tarifs douaniers imposés par les États-Unis, dont l’intervention publique dans le débat de l’ancien premier ministre Jean Chrétien.

Aujourd'hui, nous célébrons la nouvelle année en compagnie de notre invité récurrent, Sébastien Saint-François. Ensemble, nous discutons des défis tumultueux qui se profilent pour l'année 2025, en commençant par la situation chaotique actuelle au Canada, marquée par l'incertitude politique et les tensions avec nos voisins du Sud.

Sébastien partage ses réflexions sur l'impact de la présidence Trump 2.0 sur le Canada, ainsi que sur les élections fédérales anticipées. Nous abordons également les perspectives pour le leadership canadien et les enjeux cruciaux liés aux relations canado-américaines. Préparez-vous pour une discussion enrichissante et passionnée sur les réalités politiques de notre temps.