Je l'ai découvert lorsque j'ai commencé à travailler dans une grande brasserie sur le port de Noirmoutier, là où il faisait aussi des saisons chaque été. Je l'observais dessiner chaque jour en terrasse et ses croquis m'intriguaient.
On a parlé ensemble d'Agnès Varda, des beaux arts, de la légitimité d'être artiste, de la pression dans la création, de remise en question mais aussi de la quête du beau.